Je ne mourrai pas du jeu, Guillaume GUERAUD

Je mourrai pas gibier, Guillaume GUERAUD

L’histoire se passe dans un petit village de 1219 habitants qui s’appelle Mortagne. Deux ressources alimentent les deux seules entreprises du village : le bois et la vigne. Travailler pour l’une des deux entreprises revient à haïr l’autre. Martial, un habitant du village, préfère étudier le plus loin possible afin d’éviter les incidents et de fuir la scierie où toute sa famille travaille. Et d’échapper aussi à la phrase que répète aussi bien les scieurs que les vignerons : « Je suis né chasseur ! Je mourrai pas gibier !» Parce que dans ce village tout le monde pratique la chasse. Sauf Terence qui ne sait ni travailler ni chasser et c’est pour cela que Martial l’aime bien. Martial ne supporte pas que l’on se défoule sur Terence, homme simple d’esprit « pleu-pleu ». Le fait que son frère s’acharne violemment sur Térence pour se défouler comme il le dit, le révolte. Alors, au mariage de son frère, il craque et tue des personnes présentes lors de cet événement où tout les gens de la vigne étaient réunis. Il finit par se jeter par la fenêtre pensant se suicider mais il ressent juste une douleur infernale au genou.

Cette œuvre est bien en lien avec la séquence car dans ce livre on parle de normalité… Peut-on accepter la persécution de Térence, c’est-à-dire détruire le bien d’autrui ?

→ Lien avec Rhinocéros où il ne faut pas accepter la normalité, celle de se transformer en rhinocéros.

...