Ile des esclaves : Comment cette parodie dénonce les travers des normes social de l’époque

comment cette parodie dénonce les travers des normes social de l’époque

I. introduction 

Le théâtre de Marivaux par gout du travestissement cette auteur est le témoi essentiel de la société française de la première moitier du 18eme sciècle. Il excelle dans les comédies doté d’un comique farcesque qui dénonce l’ordre social par l’intermédiaire d’un langage a la fois libre et sophistiquer. Dans l’ile des esclaves, marivaux exploite ce bout du déguisement et l’associe a une réfléxtion philosophique et politique. En fait, Iphicrate et Euphrosine échoue sur une ille avec leurs esclaves respectif, arlequin et Cléanthis. Les maitre devienne exclaves et esclaves maitre. L’échange maitre valet, sur ordre de trivelin, a pour but de questionner la relation maitre valet au 18eme siècle et ainsi la légitimité de l’aristocratie a dominer. Dans cet extrait comique de la scène 6 les esclaves, arlequin et Cléanthis parodie les mœurs galante de leurs anciens maitre.

II les différent mouvements 

Mouvement I : l1a l20 : parodie de scènes d’amour a la façon de leur maitre 

Mouvement II : l21 a l29 : interruption du jeux galant  

Mouvement III : l30 a 36 : les esclaves orchestrent une leçon pour se moquer de leur maitre.

III analyse linéaire 

Mouvement 1 : parodie d’une scène d’amour a la façon de leur maitre

• L’extrait s’ouvre sur une brève injonction au subjonctif, qu’arlequin adresse a Iphicrate

• L1 « on se retire a dix pas »

• Cet ordre montre l’autorité de l’ancienne esclave qui prend une revanche sur son ancien maitre
• Ces deux personnages sont donc écarter en silence

• L1

• Cette gestuel est aussi comique, elle nous rappelle le comique de la pantomime

• L1

• Nous avons bien sur affaire a une vengeance sociale de la part des esclaves mais aussi de la part de l’auteur, témoins des inégalités de son temps

• Les anciens esclaves imitent leurs anciens maitres

• La didascalie « arlequin se promenant sur le théâtre avec Cléanthis » l2-3

• Il y a un jeux de mise en aime, de théâtre dans le théâtre

• Arlequin se veut le metteur en scène, comme si il y avait la création d’un second espace pour les valets

• Les nouveaux maitres imitent les anciens maitres, ils se promènent galamment

• En disant « remarquez vous madame la clarté du jour » l3
• La deuxième personne du pluriel « vous » et « madame » l3a 5 ont ce caractère galent et « un jour tendre » viens de la préciosité

• Tout est moquer car juger superficiel

• Arlequin se moque de lui-même

• L5 « je ressemble donc au jour », d’autant plus que « jour » est répéter a plusieurs reprise ce qui est comique

• Puis soudain arlequin trahi le statut social, ce qui pardie la maitrise des maitres

• Il s’écrie, l7-8 « et palsambleu le moyen de n’être tendre… oh, oh, oh, oh ! »

• Arlequin rompt avec l’univers des nobles

• La phrase « vous défigurer notre conversation » l9 montre que les mœurs de galanterie repose sur le masque social

• Arlequin saute de joie, nous somme dans l’univers de la farce

• Il « s’applaudit » l10, comme le ferais on maitre

• Puis cléanthis tente de reprendre le ton galant

• Avec le therme « monsieur »l12 et le champ lexical de la galanterie « galant » « douceur » et le « vous » répéter 5 fois de la ligne 11 a 13

• Les « émois » l14 d’arlequin insiste sur le coté artificiel et pompeux des codes de la courtoisie

• Alors Cléanthis insiste

• Elle joue la coquette et ridiculise encore les codes galants

• L15-16 « vous m’allez dire que vous m’aimez, Et vous ne persuadez pas »  

• Parodie de la conversation galante en parlant d’une façon exagérer et très théâtral

• Arlequin «l’arrêtant par le bras et se met a genoux » l17

• Arlequin feint la passion amoureuse

• Il utilise des therme tel que « flame » « feux » l 17 18

• Cléanthis feint l’agacement avec l’emploi de l’impératif et la négation

• L19 « laissez moi je ne veut point d’affaire

• On a afaire a des jeux caricaturaux, mélange entre refus et déclaration

• Les interrogations et le vocabulaire amoureux « qu’on vous aime » et « sérieux » l19

Mouvement 2 : interruption du jeux galant

• Arlequin reste vif spontané et amusent, contraire au maitre, code galant artificiel

• Il rit à genoux « haha nous somme aussi bouffon que nos patrons mais nous ne sommes plus sage » l21 22

• L’antithèse bouffon/ sage inverse les rôles et valeur traditionnelles

• Arlequin déprécie ses maitres par la réalité bouffonne de leur « patron »

• Arlequin créé un effet d’attente, il existe un décalage entre les pensé des nobles et agissement qui masque la réalité que l’auteur dénonce

• En s’exclament « savez-vous ce que je pense » l24, l’auteur dénonce les agissements qui masque une réalité, a travers les valets.

• Les deux personnages s’interrogent au sujet de l’amour

• « Vous ne m’aimez pas et vous m’aimez-vous ?»
• De façon comique arlequin demande « comment trouvez-vous mon arlequin » l29

Mouvement 3 :les esclaves orchestre une leçons pour leurs maitres

• Arlequin s’exclame concernant Euphrosine

• Cléanthis s’aperçois alors qu’elle entrevoit sa pensé

• Cela suscite un effet d’attente et de complicité avec le spectateur qui vois que quelque chose se trame

• Arlequin dévoile son projet
• Il propose de courtiser les anciens maitres car il sont apte

• « voila » « voila ce que c’est » l33
• « nous somme assez forts pour soutenir cela »

• Cléanthis accepte

• L35 « cette imagination la me rit assez »

• Cléanthis ce sent alaise dans ce rôle également confiante en leur charme

• Elle indique de manière ironique « ne saurait mieux faire que de nous aimer » l35

• Critique sur la sagesse des maitres puisque les anciens esclaves semble être plus sage que leur maitre

• « n’ont jamais rien aimer de si raisonnable et nous somme d’excellent partit pour eux » l36

• Un stratagème amoureux se présente comme une leçon de moral bien mériter.

Conclusion

Ce passage s’inscrit dans le théâtre comique de marivaux et dans la pensé du 18eme sciècle, en effet, grâce a un jeux de travestisement, l’invertion des roles des anciens esclaves et le prétexte d’une scène d’amour, l’auteur réussie a aborder un thème sociaux pollitique dans le cadre du 18eme scièce, les deux personage de la scène inflige ainsi une lecon a leur maitre en parodient la galenterie aristocratique et rifdicule. Cela permet a l’auteur de dénoncer les normes social de l’époque.  Cette extrait anonce une nouvelle scène comique qui nous rappelle celle du malade imaginaire de Molière.

...