Fiche de lecture « patient » grand corps malade

Partie 1 : Le résumé du livre

a) Présentation de l’auteur et de l’ouvrage

 Le titre de l’ouvrage est PATIENTS

 L’auteur est Grand Corps Malade

 L’auteur est Fabien Marsaud, alias grand corps malade. Il est né un 31 juillet 1977 en seine saint

Denis. En 1997, il a un grave accident, il se fracture une vertèbre cervicale en sautant dans une

piscine. La chute lui cause une tétraplégie incomplète. Depuis tout petit, il écrit des textes et

commence à les partager au public sous son surnom de « grand corps malade ». Il sort son premier

album en 2006 et par la suite s’ajoutera une longue carrière de « slameur ». En 2012, il écrit le livre

« patient » puis l’adapte au cinéma en 2017.

 Le livre a été édité en France en 02 /2017

 Le livre à 166 pages

b) Présentation du type de travail

 Les thèmes généraux de l’ouvrage sont le handicap et la relation soignant – soigné.

 Le genre de document : autobiographie

 Les domaines dans lequel il s’inscrit sont le handicap.

 Le public visé peut toucher beaucoup de public, aussi bien les professionnels de santé, que les

étudiants, que tous les citoyens.

c) Choix de l’ouvrage

J’ai regardé le film au cinéma qui est en rapport avec cet ouvrage. Le film m’avait plu donc j’ai voulu

poursuivre mon intérêt pour ce livre.

En tant que professionnelle, c’est ce phénomène de résilience qui m’a intéressé. En effet, face à son

handicap, il a eu la faculté de rebondir dans la vie à tout juste 20 ans. Il s’est servi de son handicap pour

choisir son nom d’artiste et a su sortir la tête de l’eau en écrivant des textes et faire ensuite du « slam ».

Je veux également savoir, comment les soignants se comportent face à une population relativement

jeune, avec des handicaps parfois lourds et irréversibles.

BARBIERI Fanny Pour le 29 octobre 2021

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d) Le résumé du livre

Le 11 aout 1997, après un séjour en réanimation de plusieurs semaines, Fabien Marsaud est conduit en

ambulance, dans un grand centre de rééducation. Dans ce centre, chaque étage à un type spécifique de

handicap : les traumatisés crâniens, les grands brulés… l’étage des hommes accidentés paraplégiques et

tétraplégiques. C’est dans celui-ci que l’auteur va effectuer sa rééducation. Les médecins sont peu

confiants quant à l’amélioration de son état de santé contrairement à lui, qui reste optimiste.

Les deux premières semaines, il reste en chambre où il se fait accompagner pour les soins ou la

rééducation dans les longs couloirs du centre. Jusqu’à ce qu’on lui donne un fauteuil roulant électrique.

Par la suite, l’ergothérapeute bricole des solutions pour qu’il retrouve un peu d’autonomie.

Il va reprendre par la suite des liens sociaux, il va avoir la possibilité de se promener dans les couloirs,

de manger à la cantine, d’avoir un compagnon de chambre… Des liens singuliers vont se constituer entre

Fabien et ses compagnons du centre. Ils sont tous de la même tranche d’âge et proviennent pour

beaucoup de milieu populaire. Il se lie surtout d’amitié avec Toussaint, tétraplégique à cause d’un accident

de voiture, il a toujours eu un parcours compliqué depuis l’enfance. Puis Farid, en fauteuil depuis l’âge de 4

ans, il est paraplégique et est dans le centre pour un problème de hanche. Leur point de vue diffère par

rapport à leurs avenirs et leurs handicaps. Pour l’un, c’est l’acceptation, pour un autre le déni ou encore la

colère.

Au fur et à mesure du temps qui passe, il récupère de plus en plus d’autonomie. Les soins, la

rééducation s’entremêlent avec l’humour, la jeunesse et les jeux que Fabien et ses amies font. Tout cela

permet de se soutenir et de passer le temps. Pourtant, lors d’une visite mensuelle chez le médecin cheffe

du service de neurologie, il apprend que son avenir sportif est définitivement compromis car il ne serait

plus comme avant. Son monde s’effondre… Avec le temps, il s’aperçoit que l’annonce a été faite au bon

moment et qu’il était assez solide pour être remis dans la réalité.

Il raconte ensuite ses mésaventures ou aventures avec le personnel soignant et les autres patients du

centre. Il remue de plus en plus ses jambes et peut désormais avoir des activités qu’il ne faisait plus avant.

D’ailleurs une patiente du centre, appelée Samia, qu’il a fréquentée au début de son séjour, remarche. Elle

remarche difficilement, bien sûr, mais Fabien sent que ce sera son tour également d’être debout. En effet,

l’après-midi même, il se met debout avec l’aide de François, son kiné, et refait ses premiers pas. On lui

donne

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