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Fiche Du Lecture - le roman Half Of A Yellow Sun de Chimamanda Ngozi Adichie

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Par   •  24 Octobre 2014  •  3 731 Mots (15 Pages)  •  892 Vues

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Fiche du lecture

Half of a Yellow Sun – Chimamanda Ngozi Adichie

‘Half of a Yellow Sun,’ un roman magistral et plutôt obsédant, recrée un moment séminal dans l’histoire de l’Afrique contemporaine – le lutte passionné du Biafra d’établir un état indépendant dans l’est du Nigeria durant les années 1960.

Avec le talent d’artiste, l’émotion et la précision, Adichie mélange les vies des trois individuels s’accrochent dans la turbulence d’une guerre civile, et la violence effrayante qui la suivait. L’histoire est une combinaison de la politique et des rapports interpersonnelles, chargée par les conflits brutaux qui encerclent les caractères principales.

Ugwu, un jeune homme employé comme un domestique pour un professeur rempli de zèle révolutionnaire. Olanna, la belle maitresse de cette prof, qui a abandonné sa vie d’opulence à Lagos pour la ville universitaire de Nsukka et le charisme de son nouvel amant. Et Richard, un Anglais timide qui est amoureux de Kainene, la jumelle énigmatique d’Olanna. Toutes leurs vies se rassemblent dans la cadre de la guerre, et leurs idéals sont vraiment compromis, ainsi que leurs fidélités et rapports.

Tout se déroule à côté des concepts tels que la responsabilité morale, la fin du colonialisme, les allégeances et tensions ethniques, l’état africain, la race et la classe sociale, et comment l’amour peut compliquer tout d’entre eux. ‘Half of a Yellow Sun’ est une roman incroyable, ambitieux et vraiment émouvant. Adichie évoque, brillamment, la promise et des déceptions qui caractérisaient cette guerre, en nous apportant une représentation de L’Afrique moderne qui est puissante, dramatique et intensément émotionnel.

Afin de souligner quelques thèmes principaux, et les personnages principaux, il est utile de concentrer, premièrement, sur les trois premiers chapitres. Il est dans ces chapitres que les protagonistes principaux se présentent à nous un par un, ainsi que quelques contextes, observations, et idées qui restent pertinentes et importantes tout au long du roman. Le premier chapitre se déroule du point de vu d’Ugwu, et il est ce chapitre qu’on discutera tout d’abord.

Ugwu est le nouvel domestique d’un professeur, et il est immédiatement clair qu’il vient d’un milieu pauvre. Il est étonné par des routes pavées, par des murs lissés, par l’eau coulant, et il ne croit pas que ‘anybody…ate meat every day (Adichie ; 3).’ Son étonnement souligne les différences dans l’Afrique contemporaine, et il nous offre un aperçu intéressant dans la société africaine. Le contraste entre ses nouveaux alentours et ceux de sa ville natale est aussi surligné, et encore une fois, cela nous fournis avec une idée intéressante. ‘There was so much wasted space. In his village, people farmed the tiniest plots outside their homes and planted useful vegetables and herbs (Adichie ; 4).’

De cette façon, les différences de classe et les tournures d’esprit que en découlent – des aspects fortes dans le roman qui façonnent les comportements de caractères et leurs rapports - sont soulignent. Un autre contraste qui découle de cela - les différences concernant la tradition et les croyances y associent - est aussi évoqué.

Le milieu traditionnel d’Ugwu est mis en évidence par la mention de la deuxième femme de son père, par son désir de cuire avec des ingrédients traditionnels, et les plutôt drôles évocations de sa croyance en les malédictions et les esprits, ‘he murmered a curse about acute diarrhoea following him and all his offspring for life (Adichie ; 13).’ ‘Evil spirits had made him do it. They lurked everywhere, after all (Adichie ; 14).’

Tout cela est contrasté avec son nouvel employeur, Odenigbo, qui est un intellectuel, qui parle Igbo ‘coloured by the sliding sounds of english (Adichie ; 4),’ qui lit les articles dans son fauteuil, et qui ne s’associe pas du tout aux croyances et pratiques de tradition. Cela représente un important, intéressante et plutôt nouveau changement et contraste dans l’Afrique contemporaine, et tout au long de la roman cette contraste est souligné, nous rappelant de la culture contrasté et changeant au sein d’Afrique.

Une autre chose dans ce premier chapitre qui souligne les questions contemporaines de l’Afrique est les observations d’Odenigbo. Dans son zèle révolutionnaire, nous sommes introduits à quelques importants aspects de l’Afrique postcolonial, aspects qui toujours se trouvent au fond du roman et nous rappellent du son contexte. Dès qu’il entendit qu’Ugwu n’est plus à l’école, il répond, ‘how can we resist exploitation if we don’t have the tools to understand it (Adichie ; 11).’ Il y a plusieurs autres exemples de ces perspicacités intellectuels - ‘There are two answers to the things they will teach you about our land; the real answer and the answer you give in school to pass…they will teach you that a white man called Mungo Park discovered the river Niger. That is rubbish. Our people fished in the Niger long before Mungo Park’s grandfather was born. But in your exam, write that it was Mungo Park (Adichie ; 11).’ ‘The only authentic identity for the African is the tribe... I am Nigerian because a white man created Nigeria and gave me that identity…but I was Igbo before the white man came (Adichie ; 20).’ Tout cela sert à nous rappeler du contexte colonial et des questions qui restaient après l’independence.

Au fin du chapitre, nous sommes introduit à Olanna, qui est immédiatement décrit comme belle et intelligent. Cela mène au deuxième chapitre, qui se déroule du point de vue d’Olanna, et qui décrit sa vie et les rapports en cela.

L’expérience fortunée d’Olanna est immédiatement suggérée – un employé à l’aéroport lui invite d’aller au salon d’accueil pour VIP quand il entend son nom. En refusant l’offre, sa modestie est suggérée. Cette bonté d’Olanna se produit encore dans la description du diner – ‘none of her family thanked Maxwell. Olanna wished they would; it was such a simple thing to do, to acknowledge the humanity of the people who served them (Adichie ; 30).’ La gentillesse innée d’Olanna est importante, elle est un trait caractère qui affect ses actions tout au long du roman, et bien sur elle affect son parcours en cela.

Ce diner est important dans quelques autres respects. Les parents d’Olanna reçoivent le ministre de la finance du Nigeria, espérant d’obtenir un contrat. En cela, la corruption dans la politique (ou cet autre mot que vous avez suggéré de remplacer ‘corruption’ que j’ai oublié) est évoquée. Le ministre peut arranger ‘for them to buy at five or six times

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