Etude d’une double-page de manuel et d’une double-page du livre du maître

Etude d’une double-page de manuel et d’une double-page du livre du maître.

Vient s’accrocher aux textes et non l’inverse.

Mais illustration du texte prête à confusion puisqu’il montre un mammouth alors que la description faîtes dans le texte n’induit pas des mammouths comme personnage.

Le 2ème texte parle de la course d’orientation dans le but de faire passer la PSR.

Objectifs de travail proposés intéressants et permet de cerner les enjeux de la leçon.

Notion d’expansion du nom sans être rébarbatif, choix de l’absence de l’antécédent ainsi nommé évite le jargonnage, permet d’éviter la surcharge cognitive lié au jargonnage.

Pinocchio adaptation théâtrale

Personnages (brigand, fée et Pinocchio) et leurs intentions sont les mêmes que dans la version de Collodi.

Apparition de la fée similaire :

• Elle est morte

• Froide

• Attend le croque-mort

Présence de la chatte et de la petite fille dans le but de démultiplier les figures maternelles.

La petite fille de Collodi est extérieure alors qu’ici, le lecteur est quelqu’un d’averti que l’on prépare à l’humanisation du personnage de la petite fille. Un élément est conservé avec la version de Collodi la manière dont Pinocchio s’adresse à la petite fille « belle petite fille aux cheveux bleus ».

La grande variation vient de la mise en scène théâtrale :

• Mise en page modifiée.

• Didascalies (concernent la mise en scène, le jeu des acteurs, l’ambiance de jeu…).

• Changement de prise de parole avec les répliques (présence du nom du personnage parlant).

• Elisions dans les paroles prouvent l’oralité.

• Découpage du texte (scènes et actes) changement de scène à chaque entrée ou sortie de personnage.

• Discours direct majoritaire malgré de nombreuses didascalies. Les didascalies traitent des personnages, précisions des actions des personnages.

• Tentative de comique de situation avec l’utilisation de la perceuse, puis avec le bois est trop dur.

• Insistance des didascalies : Texte porteur de vulgarité : fait appel aux farces de la commedia dell’arte et de guignol : entre le théâtre et le théâtre de marionnettes, langage vulgaire et à connotation sexuelle.

• Le registre de langue utilisé (familier voire grossier).

Le spectateur lui n’a accès qu’a ce qui est dit et non aux didascalies et para-textes.

Scène rapide, typique du théâtre comique.

Fin de la scène avec un chant absent du roman, aspect du petit garçon qui parle et qui appelle son papa. Promesse d’aller à l’école répétitif, appel du cirque.

 intention liée au chant :

18 février 13

Le genre littéraire : Un genre n’est pas utilisé que pour le notion de genre littéraire, ile genre littéraire est une classe d’objets partageant une série de caractères communs. Il y a globalement 2 usages :

• Un usage théorique :

o Le genre définit des règles communes de formes, de contenus et de but (pour 3 des dimensions du texte). Ex : la comédie de théâtre il y a une règle de forme par la découpe en acte, les paroles détaillées, il y a une règle de but: celle-ci doit être distrayante. Contenu : aller vers un dénouement en passant par de multiples péripéties. / tragédie : découpage actes et scènes, présence d’un héros, mise en lumière d’un lien de compassion entre acteur et spectateur.

• Un usage empirique :

o Regroupement d’œuvres en ensembles plus ou moins stables.

o Définition qui nous met face à de nombreuses difficultés.

Le sonnet est formé de quatorze vers, traditionnellement disposés en quatre strophes :

• deux quatrains (quatre vers),et deux tercets (trois vers).

Le schéma de rimes est en général le suivant :

• rimes embrassées (abba) dans les quatrains ;

• schéma (ccd) (ede) ou (ccd) (eed) dans les tercets.

Genre littéraire n’est pas toujours du domaine de l’écrit, il crée un pacte de lecture et un pacte de réception.

Lecture personnelle : genre autobiographique

...