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Etude Linéaire Tirade d'Arnolphe (L'école des femmes)

Analyse sectorielle : Etude Linéaire Tirade d'Arnolphe (L'école des femmes). Recherche parmi 298 000+ dissertations

Par   •  24 Mai 2020  •  Analyse sectorielle  •  570 Mots (3 Pages)  •  1 363 Vues

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Andrieux Mathéo                   Analyse de la tirade d’Arnolphe                                         Sde Parme

Du vers 675 à 678, Arnolphe demande à Agnès de se concentrer en utilisant de l’impératif : « levez » « tournez » « laissez » « regardez » « imprimez ».

Du vers 679 à 685, Il dit à Agnès qu’il veut l’épouser et lui explique qu’elle est chanceuse « Vous devez bénir l’heur de votre destinée » puisqu’elle passera de pauvre villageoise à honorable bourgeoise en se mariant avec lui « de ce vil état de pauvre villageoise vous fait monter au rang d’honorable bourgeoise ». Il compare aussi sa vie passée et future avec la rime « villageoise » « bourgeoise ».

Du vers 686 à 688, Arnolphe se vente de son succès auprès des femmes « fort capables de plaire ».

Du vers 689 à 694, Arnolphe fait comprendre a Agnès qu’elle a une dette envers lui et qu’elle ne doit pas oublier d’où elle vient, il utilise le chanp lexical du mérite « meriter ».

Du vers 695 à 698, Il lui explique qu’elle ne doit pas prendre de plaisir en se mariant, il utilise le champ lexical de l’amusement « n’est pas un badinage » « prendre du bon temps ».

Du vers 699, Arnolphe dit que la femme dépend de son mari.

Du vers 700 à 708, Arnolphe montre la supériorité du mari par rapport à la femme en utilisant des comparaisons « Le valet à son maître » « L’une en tout est soumise à l’autre qui gouverne ».

Du vers 709 à 712, Il explique que la femme doit avoir de « l’obéissance » « de l’humilité » et « du respect » pour son mari, il utilise une gradation « son mari, son chef, son seigneur et son maître » pour mettre en valeur la supériorité de l’homme.

Du vers 713 à 717, Arnolphe dit que la femme doit obéir à son mari en utilisant le champ lexical du devoir « son devoir ».

Du vers 718 à 722,  Arnolphe met en garde Agnès à ne pas prendre exemple sur les autres pour la préserver de la tromperie « C’est-à-dire d’ouïr aucun jeune blondin ».

Du vers 723 à 726, Agnès ne doit pas salir l’honneur de son mari « C’est mon honneur, Angès, que je vous abandonne ».

Du vers 727 à 728, il fait une description de l’enfer et utilise l’hyperbole « à jamais » pour faire peur à Agnès car il sait que puisqu’elle est naïve elle va croire tout ce que Arnolphe lui dit.

Du vers 729 à 732, il lui explique ce qu’elle deviendra si elle reste fidèle à lui en utilisant la comparaison « comme un lis, blanche et nette »

Du vers 733 à 737, il lui explique maintenant ce qu’elle deviendra si elle fait le contraire en utilisant le champ lexical de l’enfer « diable » « enfers » et l’hyperbole « Bouillir dans les enfers à toute éternité ».

Du vers 741 à 746, Arnolphe met fin à cet entretien en donnant à Agnès un écrit qui lui apprendra ce qu’elle doit faire en tant que femme mariée

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