Ecriture personnelle sur le travail

Le thème de cette écriture personnelle porte sur le travail et le corps naturel. Récemment, j’ai revu le film « The Machinist » qui démontre, dans plusieurs de ses passages, que le travail de l’Homme est répétitif, au point d’être dégradant pour ce dernier. Le corps humain est constamment soumis à diverses forces et pressions. La vitesse de la rotation de la Terre autour du Soleil, l’attraction terrestre qui mets ses articulations à contribution, la faim, la soif, les contraintes météorologiques.. Tous ces facteurs forcent le corps humain à s’adapter. En se modernisant, la société à ainsi amené le travail au rang d’activité première de l’Homme pour avoir de l’argent, et ainsi jouir de ce dernier afin de combler ces vides. Le travail, très longtemps controversé de par ses différentes conditions qu’il propose à ses employés, est objet à débat au sein des différents gouvernements. En France, l’État met en place de nombreuses solutions et aides afin de pouvoir soutenir au mieux les travailleurs. De ce fait, je vais m’interroger sur le fait que le travail peut être un véritable fardeau pour le corps naturel ou qu’il peut être un véritable moyen pour le corps naturel de se développer, surpasser ses limites.

Dans un premier temps, je vais démontrer que le travail constitue un véritable fardeau pour le corps naturel, puis dans un second temps je vais exposer le fait que le travail constitue pour le corps naturel un véritable moyen de se surpasser.

Tout d’abord, il est bon de rappeler l’étymologie du mot « travail », qui désignait autrefois un appareil de torture, immobilisant l’animal qui se trouvait piégé dedans. Ainsi, le travail, dans sa définition, constitue une source de souffrance pour le corps humain.

Ensuite, nombreux sont ceux qui se retrouvent déformés, modelés à vies par le travail qu’ils ont effectué au cours des années. Le paysan se retrouvait bossu, l’ouvrier souffrait de rhumatismes, les articulations fragiles, le mineur d’autrefois peinait à respirer normalement. Le corps naturel s’adapte constamment à son environnement, mais le travail n’est pas naturel, il force ce dernier à s’adapter constamment, à un rythme incroyablement plus élevé que celui de la sélection naturelle, prenant des millions d’années à s’effectuer. Le labeur du travail délaisse également la conscience, la bonne santé mentale. Il y a bon nombre de suicides constatés dans le monde, particulièrement dans les pays en développement, sollicitants grandement les efforts des travailleurs jusqu’à l’épuisement physique et moral. Néanmoins, le travail, s’il est suffisamment bien appréhendé, peut constituer une source de développement au corps naturel.

VIEIRA Mickaël Écriture personnelle NRC 1

Avec l’innovation, les avancées technologiques et les nombreuses études sur les besoins en santé du corps humain, il est désormais possible d’adapter les conditions de travail pour permettre au corps naturel d’utiliser son potentiel à cent pour cent, sans souffrir, ni être modifié irrémédiablement.

Dès lors, le corps naturel peut se voir intact au vue des différentes facilités d’adaptation qui lui sont apportées. Ainsi l’ouvrier dispose d’outils facilitant son travail, le mineur aura un masque lui empêchant de développer des maladies respiratoires... Ces

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