Discours sur Jean Zay

DISCOURS ARGUMENTATIFS SUR JEAN ZAY

        Citation: « La guerre n'est pas seulement une machine à tuer, elle est aussi une formidable machine à perdre son temps. » Jean Zay, Lettre de la drôle de guerre (1939-1940).

        Mesdames, Monsieurs les jurés, merci de l’intérêt que vous portez à notre sujet et

d'avoir ainsi pu vous rendre disponible. Soyez assurer de mon plus grand respect.

        Aujourd'hui j'ai l'honneur et le plaisir de défendre la thèse de Jean Zay. Tout d'abord le

6 août 1904, un avocat, un politicien, un ministre de l’éducation, un député du Loiret est un

conseiller général est né. Quarante ans après sa naissance, le 20 juin 1944 celui-ci se fit tuer

par la milice. Pendant la Seconde Guerre Mondiale, plus précisément en 1939 dans son livre

«Lettre de la drôle de guerre», Jean Zay écrivit «La guerre n'est pas seulement une machine

à tuer, elle est aussi une formidable machine à perdre son temps.». C'est une phrase

intemporelle, qui doit s'inscrire dans nos mémoires.

        Avant tout, posez-vous ces questions: Est-ce que ces millions de personnes méritaient-elles

d’être tués? Comment des humains pouvaient-ils emprisonner, torturer et achever des

innocents tels que des enfants?

        La guerre, une usine a créé des être sans cœur et sans pitiés.

Comme l'exprime Jean Zay, dans son livre, les hommes deviennent sans sentiments, sans

émotions, sans conscience. Mais peut-on dire finalement qu'ils sont responsable ? Non, car

malgré eux ils doivent obéissances à leurs dirigeants. Des dirigeants qui recherche le pouvoir

afin d’imposer leur idées le plus souvent malfaisantes.

De plus, la guerre se veut la plus destructrice possible. En effet, à partir du XVIII (18) éme

siècle, nous avons pu remarquer un progrès des armes que se soit des fusils, obus, canons

ainsi que les bombes atomiques qui sont de plus en plus destructrices, puissantes et

développées. Replonger-vous le 6 août 1945, lors du bombardement d'Hiroshima par les

États-Unis, un vacarme indescriptible, puis, un silence de morts, Mais quelques minutes plus

tard des sanglots, des cris, des hurlements. Ces familles qui ne se rejoindrons jamais. Ces

corps brûlés, carbonisés et terrassés par le feu. Ce fut un désastreux bilan de 70 000 morts,

sans oublier que des années plus tard d'autres mourront des radiations causées par le

bombardement qui au total ajouterons 70 000 morts à ce bilan.

Mais, il ne faut pas oublier l'apparition des sous-marins en 1776, des avions de chasse en

1914. Il y a aussi des véhicules de plus en plus rapides et adaptée pour tous les terrain

(chars d'assaut, tanks, camions, ...).

Tout ceci permet de créer un formidable désastre de vies humaines.En effet, avec ces nombreuses guerres, il y a de plus en plus de blessés, que se soit physiques où psychologiques. Les combattants reviennent traumatisés, voire fous, d'autres, chaque nuit revivent les atrocités qu'il ont vécu pendant la guerre. Certains se feront internés dans des hôpitaux psychiatriques. A cela s'ajoute les blessés physique appelés «gueules cassées». Certains reviennent mutilés, paralysés et avec des membres manquants. A cause de la Seconde guerre mondiale et à ces camps de la mort, plus de 60 000 000 d'innocents perdirent la vie.

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