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Corpus sur le thème du réalisme et du naturalisme: Balzac, Goncourt, Maupassant, Zola

Fiche de lecture : Corpus sur le thème du réalisme et du naturalisme: Balzac, Goncourt, Maupassant, Zola. Recherche parmi 298 000+ dissertations

Par   •  18 Mars 2015  •  Fiche de lecture  •  323 Mots (2 Pages)  •  675 Vues

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Nous allons étudier quatre textes de corpus écrits au XIXème siècle. Ce corpus de textes, associant Honoré de Balzac dans "avant-propos à La Comédie humaine", Les frères Goncourt dans "Préface à Germinie Lacerteux", Emile Zola dans la "Préface aux Rougon-Macquart" et Guy de Maupassant dans "Le Roman" Préface à Pierre et Jean, a un thème commun : le réalisme et le naturalisme. Ce sont deux mouvements qui consistent à écrire des textes de façon à ce que l’histoire paraisse le plus vrai possible en décrivant le monde et les hommes tels qu’ils sont. L’écrivain observe et décrit de manière stricte, presque scientifique, les mœurs des gens de son époque. Nous allons observer les éléments communs présents dans les différentes visions que proposent ces quatre auteurs sur le rôle et les caractéristiques du roman. Pour cela nous commencerons par étudier la présence d’un nouveau héros. Ensuite, nous analyserons le fait qu'il s'agit d'une observation objective. Puis nous étudierions les disciplines scientifiques qui sont présentées comme modèles. Mais, pour finir, qu’il s’agit tout de même d’un véritable travail de création.

Tout d’abord nous observons dans ces quatre textes qu’il n’est pas sujet d’une personne en particulier. En effet, Zola s’intéresse plutôt à « un groupe d’êtres », à « une famille » ou « un groupe social » et leur façon dont il se comporte dans une société. Les frères Goncourt, eux, s’intéressent « au peuple » tandis que Balzac s’intéresse à « La Société française ». En revanche, Maupassant utilise une vision plus générale et implicite, il parle de tout le monde : « notre existence », « la vie ». Ces romanciers ne s’intéressent pas aux classes bourgeoise, ni populaire, mais plutôt aux misérables, « les basses classes » comme cité dans le texte des frères Goncourt. Nous pouvons donc conclure que le héros singulier n’est plus le centre du roman mais que les écrivains s’intéressent à l’individu dans son milieu, voir à u

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