Corpus français: l'importance de la convention du passé dans le théâtre: Molière, Racine, Diderot, Stendhal: Quel est la thèse exposé qui constitue précisément chaque texte ?

Ce corpus est constitué des quatre textes suivant : Tout d’abord nous avons la comédie de Molière « La critique de l’école des femmes » (1663) ; ensuite Racine « Iphigénie » (1674) ; et Diderot « Paradoxe sur le comédien » (1773-118) puis Stendhal « Racine et Shakespeare » (1824).Ces quatre textes du corpus porte tous sur le thème récurrent qu’est l’importance de la convention du passé au théâtre. Les quatre auteurs ont diffèrent avis sur ce thème. Quel est la thèse exposé qui constitue précisément chaque texte ?

Ces quatre textes ont commun un texte argumentatif sur les conventions du passé afin de convaincre ou persuader d’avantage pour cela il évoque chacun des noms de dramaturge célèbre de l’époque du classicisme : Euripide, Horace, Aristote, Homère et Sophocle. Nous distinguerons deux groupes : les textes A, C et D qui entendent à blâmer les règles du classicisme alors que le texte B lui vise plutôt à en faire un éloge. Afin d’argumenter en défaveur des méthodes dramatique de l’Antiquité les textes A, C et D met en confrontation un autre thème du théâtre, pour chacun diffèrent. Dans le premier texte Molière affirme que les règles de l’art dramatique employé part Lysidas n’ont aucune importance puisque le but de chaque pièce de théâtre est clairement de plaire puis pour Diderot le langage poétique n’est pas adapté aux comédiens « C’est celui d’Homère, c’est celui de Racine, c’est celui de la poésie… » et le jeu d’acteur que conçoit un comédien devrait être pour lui plus expressif (situations dramatiques..) contrairement à une simple tragédie incluant la règle de bienséance. Et ensuite Stendhal prend parti pour le romantisme contre le classicisme. Défendant l'idée d’une littérature moderne, il affirme que le romantisme et le nouveau classicisme de cette époque actuel. À l'inverse, dans la préface de Racine rend hommage aux génies antiques et dit la vénération qu’il a toujours eue pour les ouvrages qui nous restent de l’antiquité. L’invention passe de ce fait pour Racine par l’imitation des chefs-d’œuvre de l’Antiquité Les textes A et D s’oppose au texte B puisqu’ils affirment que le plaisir de voir une pièce résulte de l’absence du classicisme. « …le bon sens à faites sur ce qui peut ôter le plaisir que l’on prend » ; « Imiter aujourd’hui Sophocle et Euripide et prétendre ces imitations ne feront pas bailler les Français » alors que Racine démontre le contraire « l’effet qu’a produit sur notre théâtre » ; « Mes spectateurs ont été ému » Les auteurs des textes A et C ont une argumentation semblable puisqu’il joue tous deux sur un effet de

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