Corpus: Le Divertissement de Pascal, Société de Diderot et D'Alembert, La Solitude de Baudelaire et City of Shadows de Titarenko

BONNIN

ROMANE

1SSVT                                                                    CORPUS

Ce corpus est composé de quatre œuvres. Il s’agit dans l’ordre chronologique de Divertissement de Pascal, Société de Diderot et D’Alembert, La soliude de Baudelaire et pour finir d’une peinture de Titarenko intitulée City of Shadows. Dans ces œuvres les auteurs démontrent les avantages et les inconvénients de la vie en société. Nous allons donc voir comment les auteurs démontrent les avantages et les inconvénients de la vie en société dans ces œuvres.

        A travers les trois textes, on voit que les auteurs veulent tous faire passer un message. Ces messages sont personnels, en effet il s’agit de leur opinion sur la société, dans le texte 1 Pascal essaye de nous convertir à la religion et il nous fait comprendre que le divertissement n’est qu’une « armure » pour cacher la véritable misère de la société. Dans le texte 2 et dans l’image 3, Diderot, D’Alembert et Titarenko nous montrent que les hommes sont faits pour vivre en société et que la solitude détruit la race humaine en revanche dans le texte 3, d’après Baudelaire les hommes vivraient mieux s’ils étaient seuls et isolés. Ces auteurs démontrent donc les avantages et les inconvénients de la vie en société en se basant sur leurs opinions et leurs expériences personnelles.

        Dans les textes, les auteurs essayent d’affirmer leurs théories de la société en s’appuyant sur des démarches scientifiques. Dans le texte 1, Pascal nous montre la veine nécessité du divertissement. Il s’appuie d’abord sur une expérience personnelle « Quand je m’y suis mis » puis il généralise cette expérience de façon à ce que tout le monde puisse se retrouver dans ses paroles « On ne cherche les conversations », on voit le changement de pronoms « je » à « on ». C’est donc un raisonnement inductif, il est également utilisé dans les textes 2 et 3. Le texte 2 commence par « SOCIETE, s.f (Morale) », on s’attend donc à lire une définition d’un dictionnaire, le contexte scientifique est amplifié. Dans les trois textes on voit aussi qu’il y a des connecteurs logiques « parce que on trouverait », « s’il », « il est certain que ». Grace à cet emploi on a l’impression que leurs idées ont des conséquences logiques qui font penser à des calculs mathématiques. On voit également le champ lexical de la science « savoir », « thèse », « inclinations naturelles ». On peut donc conclure que les auteurs utilisent la démarche scientifique, d’abord avec un discourt inductif puis par la suite un discourt déductif qui permet de prouver leurs opinions.

        On remarque également que dans les trois textes et la peinture, les auteurs ont pris des exemples pour défendre leurs théories sur la société. Dans le texte 1, Pascal s’appuie sur la royauté pour donner un élément de preuve de plus a son opinion et nous montrer que même les « plus beau poste du monde » n’est rien sans divertissement. Dans le texte 2, ils utilisent les animaux pour montrer que l’homme n’a pas des capacités similaires pour vivre comme eux, insociables. Dans le texte 3, Baudelaire affirme ses pensées en détruisant celles d’un autre homme. Et dans l’œuvre 4, on voit qu’un homme nous regarde comme s’il y avait que lui qui ne remarquait notre présence alors que la foule est pleine de gens. On peut conclure que les auteurs utilisent des exemples pour nous montrer les inconvénients et les avantages à la vie en société.

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