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Commentaire d'un corpus de textes

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Par   •  3 Décembre 2017  •  Commentaire de texte  •  873 Mots (4 Pages)  •  717 Vues

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 INTRODUCTION :

               De nos jours on peut voir dans l’actualité que les catastrophes naturelles peuvent arriver aux Antilles tout comme partout ailleurs. Une catastrophe naturelle est une catastrophe qui résulte d’un évènement naturel par exemple les séismes, les éruptions, les mouvements de terrain, les inondations, les tempêtes, les orages, les cyclones etc...

Nous avons à notre disposition 4 documents, le 1er et le 2ème document sont des extraits de revue, le 1er de F. Bussy « Penser nos catastrophe » publier en 2008 et le 2ème de R.E. Dagorn « Les catastrophe n’existent pas » publier en 2014. Le 3éme document est un extrait du poème de Voltaire « Poème sur le désastre de Lisbonne » publié en en 1756. Et enfin le 4éme document est un article du journal Le Monde où est illustrée une photographie du village de Bento-Rodriguès après le passage d’un tsunami de déchets miniers boueux après que la rupture d’un barrage de la compagnie Samarco.

Nous allons tout d’abord aborder dans une 1ère partie les causes naturelles puis dans une deuxième partie nous allons voir comment l’homme intervient dans les causes et effets de ces catastrophes.

Peut-on vraiment accuser l’homme d’être responsable des catastrophes naturelles ?

  1. LES CATASTROPHES NATURELLES SONT LIE A LA NATURE.

F. Bussy rappelle ainsi, dans « Penser nos catastrophes » publié en 2008, qu’il existe deux genres de catastrophe, les catastrophes naturelles dites ancestrales et les catastrophes causées par l’homme dites contemporaine. Pendant des siècles, l’humanité a vu dans les catastrophes, par leur ampleur et parfois dans l’incapacité à les expliquer et ont interprété ça comme étant la colère des dieux. Les catastrophes naturelles apparaissent comme des drames et viennent rompre de manière insolite nos repères. C’est pourquoi l’écrivain Voltaire tente de nous faire ressentir un tremblement de terre à travers son extrait du Poème sur le désastre de Lisbonne en 1756. Il compare ainsi ce tremblement de terre à un acte divinatoire en s’exprimant à de « malheureux mortels » et en faisant allusion à une vengeance de Dieu pour tous les crimes qu’ont causés ces individus.

R.-E. Dagorn affirme que les catastrophes se produisent par manque d’anticipation et de moyen financier. Les pays à fort risque de catastrophe naturelle sont les pays en voie de développement. Afin d’éviter qu’une catastrophe ne se reproduise, R.-E. Dagorn suggère la prévention du risque. La prévention identifie les risques et agit en amont afin que la catastrophe ne se produise pas ou que ses effets soient minimes. Ainsi la mise en place d’un espace du risque aurait permis d’éviter l’effondrement de digues, causées par le cyclone Katrina à La Nouvelle-Orléans et aurait permis une économie de 100 milliards de dollars. Au Brésil, et en particulier Le village de Bento-Rodriguès » a été touché le 6 novembre 2015 par un tsunami de déchets miniers boueux. Soucieux de la sécurité des habitants de ce village, les autorités locales ont dû les faire évacuer au risque qu’un troisième barrage de déchets de la société Samarco ne cède. D’après les statistiques de R.-E. Dagorn, sur 1 million d’habitants, le risque annuel de mort par séisme est beaucoup plus élevé dans les pays en voie de développement qu’en Californie, ville située sur une faille très active. Ce constat vaut pour l’ensemble des catastrophes.

  1. L’INTERVENTION DE L’HOMME FAVORISE LA CATASTROPHE.

L’homme dans ses actes a un effet néfaste sur la planète. D’après F. Bussy, les hommes sont les principaux facteurs déterminants de la catastrophe, ils s’opposent à la prévention des effets et au contrôle des conséquences sur l’environnement. D’un point de vue écologique et toujours selon F. Bussy, les catastrophes sont guises de menace et de prévisions pour les générations futures. Tout cela est dû en majeur partie à la consommation et à la production massives de déchets ou tout autres produits néfastes pour la nature comme le stipule l’article du quotidien Le Monde sur « Le village de Bento-Rodriguès », mais également à la surconsommation de pollution à cause des transports. Tous ces actes à long terme et à grosse densité peuvent provoquer des catastrophes naturelles.

        Du fait des techniques humaines et selon F. Bussy, les catastrophes naturelles ne sont plus considérées comme des actes divins. De nos jours la catastrophe est synonyme de norme et de violation. Si l’homme intervient sur les lois de la nature, il sera difficile d’en contrôler les conséquences comme l’explique R.-E. Dagorn, les pays en voie de développement sont les plus concernés par les catastrophes naturelles qui peuvent être d’origine naturelle ou relatives à l’activité humaine. Un tsunami de déchets miniers boueux a frappé « Le village de Bento Rodriguès » le 6 novembre 2015 au Brésil suite à la rupture de deux barrages ce qui a causé des morts et des blessés.

Ce risque de nier les conséquences sur l’environnement explique la nécessité d’avoir recours à des moyens pour y remédier.

Le corpus met en évidence l’investissement dans des espaces du risque et de mesurer l’impact environnemental causé par l’homme.

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