Denis Diderot et sa critique de l'esclavage, de la violence et de la conquête
Dissertations Gratuits : Denis Diderot et sa critique de l'esclavage, de la violence et de la conquête. Recherche parmi 299 000+ dissertationsPar adrien81 • 24 Février 2014 • 300 Mots (2 Pages) • 1 152 Vues
Diderot
La dimension critique
Critique de l’esclavage, de la violence et de la conquête
Critique de la civilisation
Désacralisation de l’Européen
L’éloge
L’éloge de l’état de nature
Eloge de l’épicurisme et de l’hédonisme
La dimension critique
Critique de l’esclavage, de la violence et de la conquête. Diderot dénonce la conquête du Nouveau Monde par les Européens, par conséquent, le vieillard apparaît comme le porte-parole du philosophe des Lumières.
La périphrase « Chef des Brigands » montre que la conquête est une usurpation.
Présence du Champ Lexical de la violence « fureur, féroce, haïr, égorgé, sang » + la récurrence des allitérations en « R » met en exergue la barbarie des européens.
La question de rhétorique « Qui es-tu donc pour faire des esclaves ? » souligne l’absurdité de l’esclavage.
Le paradoxe : « Tu n’es pas esclave tu souffrirais la mort plutôt que de l’être et tu veux nous asservir » indique toutes les contradictions du discours de l’Européen.
Critique de la civilisation Le vieillard dénonce la civilisation européenne et critique par conséquent l’ethnocentrisme. Ainsi, Diderot propose une analogie entre le monde primitif et le monde civilisé.
L’adjectif « féroce » est un procédé d’animalisationqui montre que l’Européen se croit supérieur à l’homme primitif alors qu’il se comporte comme une bête
Critique de la propriété privée révélée par l’expression « _ Je ne sais quel distinction du tien et du mien_ ». L’expression « je ne sais quel » traduit le mépris de l’homme civilisé.
C’est donc la civilisation qui serait à l’origine de la violence et de l’inégalité parmi les hommes.
Désacralisation de l’Européen Récurrence d’oxymores : « inutile lumière, vertu chimérique » produit une désacralisation des valeurs européennes
L’antithèse « Tu n’es ni un D…, ni un Démon » renforce cette désacralisation de l’Européen.
Le vieillard imite
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