Tableau de Paris au XVIIIe siècle

« Le tableau de Paris »

PB : Dans quelle mesure l’auteur dans « le tableau de Paris » a t-il tenté de transmettre la situation parisienne la plus réaliste possible, conjurée avec le prisme de l’analyse caractéristique du courant des lumières.

Quelques prise de notes.

A Paris => peut voir l’évolution de la capital. De plus il y a une convergence entre les riches et les pauvres. Il y a une description des riches et de s pauvres. Les riches ne veule t pas se mélanger avec les pauvres. Le tableau veut rester neutre mais montre deux monde différents qui se peu se mélanger. Il met en avant la religion et montre son avis (subjectivité donc il faut se méfier et le critiquer par apport à ce qui se passe en réalité).

Le contraste dans la population => environnement urbain et la population est répartit. Il y a les faubourgs s’étende par les vague d’immigrations. 25% sont des parisiens de pures souches. Des étranger et des immigre savoyards (en vue de leur situation compliqué). Il faut parfois faire des travaux pénible pour pouvoir survivre. Mais en avant les enfants, qui doivent travailler pour pouvoir survivre, petit donc font des travaux qui certains ne peuvent pas faire. On a contraste avec la population la plus riche qui ne travaille pas. Il y a une université qui s’ouvre de plus en plus => université de Paris pour la médecine. Il faut être bien habiller, comme un bourgeois, donc montre l’influence des lumières à cette époque. Il y a une volonté d’apprentissage pour pouvoir s’élever socialement (notion l’ascension sociale => montre la mise ne place de la hiérarchie entre les différentes métiers et les différents statut des hommes).

Notion du Colbertisme et Mercantisme au niveau des stratégies économiques.  

Reprise :

La ville de Paris compte entre 600 000 et 640 000 habitants. Plus grande ville de France et c’est un monstre à l’échelle européenne (peu de ville dépasse 100 000 habitants). C’est une ville extraordinaire à laquelle on est fière d’appartenir (que ce soit pour les parisiens de pur souche ou bien immigrés). Une ville nourrit de migration, réceptacle de population migrante. Qui s’est agrandit à Paris. C’est une population saisonnière, car beaucoup viennent en hivers et puis retourne chez eux en été, pour moissonner. Il y a une spécialisation régional. Il y a différentes communautés à Paris. Les métiers s’organisent en corporation, il y a des quartiers qui mettent en place par origines (comme els Savoyards ou les Bretons). Ils sont en groupes et peuvent rester car ils ne tendent pas à rester ici longtemps, à s’établir, quelque chose de bien saisonnier. Bouscule les lignes de la sociétés traditionnelles et offrent des postes, où les gens peuvent se retrouver.

Mercier => vision d’une ville à la fois mobilise et met en place de nouvelle solidarité, tableau d’un monde entre deux mondes. Une analyse du peuple mouvant de la foule. Il y a des curiosité et des distractions au sein de la vile et c’est également pour cela que l’on y va. Un espace-temps de la vie avec des contraintes et des liberté, on passe du travail ou loisir. Ce son des séquences qui peuvent s’enchaine, la ville est un marcher où il y a beaucoup de proposition.

Il y a 100 000 prostituer à Paris au 17e siècle c’est énorme => prostitution maison du Duc d’Orléans avec le Palais royale, quelque chose de privilégié. La vile accélérateur de rencontre et d’ascension sociale mais dans une économie qui n’est pas stables.

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