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Pauca Mae / Les Contemplations

Résumé : Pauca Mae / Les Contemplations. Recherche parmi 298 000+ dissertations

Par   •  7 Mai 2022  •  Résumé  •  577 Mots (3 Pages)  •  339 Vues

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DJINO GRIMAUDO 202

PAUCA MEAE (Livre IV) Les Contemplations VICTOR HUGO

Commentaire/Appréciation :

Note :

En quoi les poèmes du livre IV révèlent-ils une écriture de l’intime ? 1) Victor Hugo et sa famille

Victor Hugo rend le livre « Pauca Meae » comme un journal intime.

Il raconte ses plus belles expériences comme les pires...

Il évoque beaucoup sa femme, ses enfants mais, surtout sa fille Léopoldine. Il se remémore les moments partagés avec eux.

« Mes quatre enfants groupés sur mes genoux,

j’appelais cette vie être content ! »

Sa famille, c’est ce qui lui importe le plus dans sa vie.

Sa fille Léopoldine est morte noyée le jour de son propre mariage, ce qui va causer une déchirure dans le cœur de l’auteur Victor Hugo.

Dans plusieurs de ces poèmes, il évoque sa fille et ses souvenirs.

« Le soir, elle prenait ma Bible pour y faire épeler sa sœur, et comme une lampe paisible, elle éclairait ce jeune cœur. »

2) Son cœur et ses sentiments

Victor Hugo laisse parler ses sentiments et de ce qu’il ressent dans ces poèmes « Vous savez que je désespère, que ma force en vain se défend,

et que je souffre comme père, moi qui souffris tant comme enfant ! »

Il ne se cache pas de son désespoir et de sa frustration, ses poèmes émotifs permettent aux lecteurs de se mettre à sa place de père et de comprendre sa douleur.

Dans quelles mesures ces poèmes permettent-ils à Victor Hugo de surmonter l’épreuve de la mort ?

1) Souvenirs, espoirs, hallucinations

Le livre « Pauca Meae » signifie : « Quelques vers pour ma fille »

Sa fille Léopoldine est morte noyée le jour de son propre mariage, ce qui va causer une déchirure dans le cœur de l’auteur Victor Hugo.

Dans plusieurs de ces poèmes, il évoque sa fille et ses souvenirs.

« Le soir, elle prenait ma Bible, pour y faire épeler sa sœur,

et comme une lampe paisible, elle éclairait ce jeune cœur. »

Il surmonte l’épreuve de la mort en gardant espoir de la revoir, de l’entendre, de la prendre dans ses bras, il interprète sa mort comme un rêve, il n’arrive pas y croire... Ses souvenir et ses espoirs vont provoquer chez lui des hallucinations. « Oh ! que de fois j’ai dit : Silence ! elle a parlé !

Tenez ! Voici le bruit de sa main sur la clé !

Attendez ! elle vient !

Laissez-moi, que j’écoute !

Car elle est quelque part dans la maison sans doute ! »

...

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