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Les limites du pouvoir absolu

Commentaire de texte : Les limites du pouvoir absolu. Recherche parmi 298 000+ dissertations

Par   •  6 Avril 2021  •  Commentaire de texte  •  1 813 Mots (8 Pages)  •  614 Vues

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L’ère de l’absolutisme commence entre le XVe et le XVI siècle en Europe, c’est dans cette période qu’en France, le roi va posséder tout les pouvoir sans aucun partage réel. Mais ce n’est pas par ce que le roi est absolue et le représentant de la volontiers de Dieu qu’il n’est pas en partie limité par le droit coutumier et les traditions. En effet le roi n’est pas libre de tout ses choix et décisions. En France par exemple après la prise des ligueurs de Paris, il fût inscrit l’impossibilité pour un roi français d’être d’une autre religion que catholique. Ou encore l’impossibilité qu’une femme gouverne le royaume de France, car seul l’aîné masculin a la possibilité de gouverner. Le texte que nous allons étudier parle de cette thématique en abordant les potentielles limites du pouvoir royal par la présence d’un parlement ayant un droit de regard sur les lois et les promut. Ce texte à été écrit  en 1617 par Bernard de La Roche Flavin. Le titre de l’œuvre est «  Les treize livres des parlements de France » et nous allons en étudier un extrait. Dans ce texte, on voit que l’auteur est très favorable au parlement, en effet il considère que c’est un moyen pour le roi d’être entouré de personne compétente chacun dans leurs domaines. L’auteur pense que même si certaine initiative sont prise sans l’accord du roi cela reste bénéfique pour le plus grand nombre, le roi compris. Nous pouvons étudier ce texte sous plusieurs problématiques mais aujourd’hui nous allons l’étudier sous un certain angle «  Le pouvoir du roi absolue,  t’il des limites concrètes, et si ses limites existent, comment ce manifestent-elle et sont-elles bénéfique pour les institutions et la population ? ». Nous allons étudier cette problématique sous deux angles, tout d’abord nous verrons «  Le pouvoir absolue du roi, sans réel partage et opposition, contraint quand même par les coutumes. (I) » puis ensuite nous verrons « Le contre-pouvoir officieux, considéré comme sain et bénéfique pour les institutions.(II) » 

I Le pouvoir absolue du roi, sans réel partage et opposition, contraint quand même par les coutumes.

Chapeau : Comme nous l’avons vu, le pouvoir absolue du roi n’a presque aucun limite. En effet le contre-pouvoir représenté par l’assembler et les états généraux ne font que de piètre contre-pouvoir.

A/ Une réel absence d’un contre-pouvoir efficace.

« Les empereurs et rois, bien qu’ils disposent d’une puissance souveraine et absolue, ne doivent pas pour autant s’estimer diminués par le fait de se soumettre au conseil. » 

        Nous pouvons voir ici que l’auteur malgré sont attirance non dissimulé pour l’importance u pouvoir de l’assemblée, n’oublie pas de mentionner que malgré ce semblant de contre-pouvoir mit en place, le roi reste seul réel décideur des lois en vigueurs dans son pays, car ce que l’auteur oublie de dire explicitement est que le roi peut, si il le souhaite, passer outre l’assemblée et forcer la promulgation d’une loi, où même refuser la promulgation d’une loi qui proviendrai de cette même assembler. Il est alors naïf de penser  que l’assemblée avait une réel importance, même si elle était composé de notable qui avait une influence sur le roi, elle n’avait, selon la volonté du roi, pas plus d’importance que les états généraux dans le sens ou elle possédait un pouvoir consultatif plutôt qu’un pouvoir de décision.

        Comme nous l’avons vu, les coutumes ont une importance significative, nous allons donc plus nous penché sur ses prémices du droit.

B/ L’importance des coutumes dans l’exercice du pouvoir du roi.

«  En ce royaume, lorsque les ordonnances ont autrefois été envoyées par les rois à la cour de parlement à Paris pour les publier, on avait coutume parfois au moment de la vérification, de les expliquer ou de les restreindre »

        Dans cette partie du texte, il y a une référence au droit coutumier, en effet, on explique que la création d’une assemblée provient des coutumes d’autrefois. Dans les anciens temps, avant l’apparition de notre droit actuel, les lois provenait de tradition et de coutumes ancestral. Ce droit coutumier possédait certaine loi limitant le pouvoir de décision du roi même si celui-ci était absolu. On pourrait comparer certaine règle à notre constitution. Pour donner quelque exemple, le futur roi devait forcément être le fils aîné masculin du roi, et si cela n’était pas possible alors on cherchais un autre homme proche familialement du roi. Le droit coutumier à aussi apporter l’obligation au roi de France d’être catholique. Cette coutume à été créé lorsque la ligue catholique a pris Paris. Cela explique aussi que malgré l’utilisation du mot coutume, le droit coutumier ne provenait pas forcement de très vieille coutume, ses coutumes pouvait être remis à jour selon les événements. Le droit coutumiers vas être remplacer par un droit écrit lors de la révolution française et avec l’apparition des première constitutions  et de la convention des droits de l’Homme. Au fur et à mesure du temps, le droit écrit vas prendre la place du droit coutumiers, que se soit en France ou dans les autres pays, même si le droit coutumier n’est pas complètement disparu de nos jours que se soit dans des pauvre ou des pays plus développé.  

Malgré ce que nous avons pu dire dans les deux précédentes parties, le contre-pouvoir représenté par l’assemblée avait quand même une importance et n’était pas inutile.

II Le contre-pouvoir officieux, considéré comme sain et bénéfique pour les institutions.

Chapeau : L’assemblée n’avait pas qu’un titre de consultation, en effet sa position est difficile à expliquer, elle peut être ignorer si le roi le souhaite , mais dû à ce qu’elle représente et à son importance dans le droit coutumier elle ne peut être totalement ignoré par le roi.

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