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En quoi Bernard de Clairvaux est -il un acteur majeur de la deuxième croisade ?

Étude de cas : En quoi Bernard de Clairvaux est -il un acteur majeur de la deuxième croisade ?. Recherche parmi 297 000+ dissertations

Par   •  25 Septembre 2022  •  Étude de cas  •  652 Mots (3 Pages)  •  351 Vues

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En 2012, un projet de loi présenté par le gouvernement canadien, menaçant la protection des terres indiennes, provoque le mouvement Idle no more (Halte à l’inaction). Ce mouvement créé par quatre femmes autochtones réclame le retrait du projet et alerte plus généralement sur les violations des droits des Premières nations (indiennes). Le mouvement obtient une suspension de la loi. Ainsi nous pouvons dire que la liberté de manifestation constitue un des piliers de la démocratie. Nous pouvons définir la démocratie comme une forme de gouvernement dans laquelle la souveraineté appartient au peuple, le fait de la remettre en question est donc fondamentale. Nous pouvons ainsi nous demander en quoi démocraties et libertés sont-elles liées.

Dans les régimes démocratiques, les citoyens jouissent de droits dits inaliénables. Nous pouvons citer les libertés individuelles comme la liberté d’opinion, d’expression, de religion, de circulation, et collectives comme la liberté de manifestation, de grève, d’association… Ces libertés sont essentielles car elles rythment le quotidien des populations et leur permettent de remettre en cause le pouvoir mis en place. D’autre part personne ne devient intérieurement libre sans liberté extérieure. La liberté civile demande son inscription dans la constitution, mais aussi est soutenue par les pratiques et les mœurs des individus dépendant elles-même de l’éducation et de l’instruction dépendant aussi de modes de vie libres, et donc démocratiques. La question de la liberté est d'autant plus fondamentale que la liberté individuelle de pensée et de décision est, elle, une condition première de la possibilité d'un exercice objectif et non faussé de la démocratie. On considère ainsi qu'un individu est libre, dans une situation donnée de la vie en société lorsqu’il peut décider d'agir ou de ne pas agir. La vision dynamique de la liberté implique que la société donne prioritairement aux faibles, défavorisés, dominés ou abusés, les pouvoirs qui leur manquent pour sortir de leur condition.

De surcroit historiquement les libertés publiques permettent de lutter contre l’absolutisme, ce qui conduit logiquement les totalitarismes modernes à rejeter ces libertés. Par exemple en 1925 le Duce présentait son « évangile pour l'Europe du XXe siècle », il s'attaque à elles parce qu'elles nient l'État dans l'intérêt de l’individu, Mussolini préfère que ce soit par l'État et dans l'intérêt de la collectivité, plutôt que par des puissances économiques occultes. De la même manière au lieu d'accorder à l'individu des libertés en vue de la satisfaction d'intérêts personnels considérés comme supérieurs aux intérêts généraux, on proclame que l'homme ne peut avoir de droits contre la communauté. Nous pouvons alors en déduire que les libertés publiques sont indissolublement liées à la démocratie, donc cette forme de gouvernement inclut la liberté dans le rapport politique. L’autorité subsiste néanmoins dans sa compatibilité avec l'autonomie de ceux qui lui sont soumis. Ainsi le propre des dictatures est d’enserrer toutes les dimensions et tous les moments de l’existence des individus pour les conditionner à adhérer avec passion aux buts dictatoriaux. Dans ces régimes les populations n’ont pas de libertés

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