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Les côtés Obscures Du 11 Septembre

Lettre type : Les côtés Obscures Du 11 Septembre. Recherche parmi 298 000+ dissertations

Par   •  2 Décembre 2013  •  Lettre type  •  9 135 Mots (37 Pages)  •  497 Vues

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Le 11 septembre 2001 a ouvert un nouveau siècle, celui des miroirs, avec ce qu’ils renvoient de notre monde : l’apparence ; et ce qu’il y a derrière : une vision subjective de la réalité. J’ai bien peur que, pour beaucoup, l’apparence soit trop forte, dans une société conditionnée depuis plusieurs générations par l’importance de celle-ci, et que les leaders politiques et religieux se servent une fois encore des apparences pour servir leurs intérêts en manipulant bon nombre d’entre nous.

J’ai peur que ce siècle soit celui d’une nouvelle guerre, montée de toutes pièces, entre deux factions, deux cultures, deux concepts de Dieu, dont nous serons les pions à sacrifier tandis que dans l’ombre une poignée d’individus tireront les ficelles pour leur plus grand profit.

Mes mots sont un cri d’alarme, ne l’oubliez pas.

Parce je vais mettre bout à bout sur ce blog des faits, des preuves, pour démontrer l’incroyable tour de passe-passe qui s’effectue en ce moment sous nos yeux fermés, n’allez pas pour autant croire qu’il ne s’agit que d’un témoignage valable pour notre époque, ce seul aspect de notre histoire.

Bien au contraire. Nous sommes entrés depuis longtemps déjà dans une ère nouvelle, les outils de pouvoir existent et certains savent parfaitement les manipuler. En écoutant ce que j’ai à vous dire, peut-être apprendrez-vous -si ce n’est pas déjà le cas- à décortiquer ces méthodes pour que plus jamais cela ne se reproduise.

La menace est permanente.

Inhérente à notre nature humaine et à la société telle qu’elle est construite.

Je ne vous demande qu’une chose : allez jusqu’au bout de ce témoignage. Il va vous paraître absurde, exagéré peut être, dans ce cas, allez vérifier par vous-même chaque point soulevé. Vous verrez que tout est vrai.

Bientôt vous ne verrez plus jamais le monde de la même manière.

Je vous le garantis.

Savez-vous quelle est l’essence du pouvoir ?

La démagogie.

Pour régner, pour gouverner, il faut plaire au peuple. Lui mentir si nécessaire. Mais dire ce que les gens ont envie d’entendre. Le faire est secondaire. On calme la colère, les déceptions, par encore un peu plus de démagogie. Puis vient le moment de tourner, de laisser sa place au parti d’en face, une fois que le peuple en a marre d’entendre trop de mensonges.

Alors le parti opposé prend les commandes et fait la même chose.

Exactement la même chose : il exerce son pouvoir. Par la démagogie. Avec plus ou moins de sincérité avec les uns et les autres.

Jusqu’à devoir laisser sa place au parti précédent qui revient faire ce qu’il a déjà fait, et ainsi de suite…

Vision peu reluisante de la politique, c’est vrai. Hélas, vision partagée par bien du monde, semble-t-il…

Et savez-vous, outre le sectarisme de leurs idées, ce qui fait la différence entre des partis extrêmes et d’autres plus « ouverts » ? L’amplitude des mensonges. Les partis des extrêmes mentent plus largement et plus dangereusement.

Je vais m’intéresser dans ce qui suit à un parti politique en particulier. A un système. Parce qu’il a été très loin dans ces mensonges. Si loin qu’il prend des aspects de parti extrême. Mais n’oublions à aucun moment qu’il pourrait en être de même de bien des leaders politiques, et que ces noms ne doivent servir qu’à renforcer notre vigilance de tous les jours. Même lorsqu’ils résonneront de l’écho d’un passé lointain.

Ils sont la preuve que c’est possible, que ça arrive. Et que ça peut revenir.

Le monde, n’en déplaise à certains, est toujours depuis la Seconde Guerre mondiale, sous l’influence américaine. La nation qui prédomine la planète. Economiquement, culturellement, politiquement et militairement.

C’est donc vers cette terre, supposée exemplaire, que mon regard se porte.

Vers une poignée de dirigeants qui illustrent parfaitement mon propos, mes craintes.

Puis-je me permettre une question avant de poursuivre ?

Aimeriez-vous vivre dans un pays sans gouvernement ? Avec pour uniques leaders les patrons des plus grandes entreprises du pays ? Ça ne serait pas très rassurant, n’est ce pas ? bien que ce soit déjà le cas dans bien des pays comme la France, je crois que c’est encore plus criant aux Etats-Unis, à l’heure où j’écris ces lignes en tout cas !

Car l’organigramme des dirigeants politiques américains est indissociable de celui des grandes compagnies industrielles.

A ce titre, on peut citer quelques noms, Dick Cheney, ce vice-président qui fait si peur dans l’ombre du président Bush, a été P-DG pendant cinq ans d’Halliburton, société d’ingénierie civile notamment dans le monde du pétrole, société qui, soit dit en passant, a raflé un nombre étourdissant de contrats en Irak pour sa reconstruction…

Cari Rove, conseiller du Président (Bush), était actionnaire chez Boeing, qui rappelons-le, œuvre largement dans le secteur militaire. Il en va de même pour Donald Rumsfeld (Ministre de la défense) qui était le dirigeant du groupe pharmaceutique Searle ; Colin Powell (ancien conseiller à la Sécurité nationale du président Reagan, puis ministre des Affaires étrangère entre autres) ; Richard Perle (éminence grise du Président) et Paul Wolfowitz (ex-numéro deux du Pentagone) qui étaient tous dans des sociétés d’armement. A noter au passage que ce dernier est depuis le 1er juin 2005 président de la Banque mondiale.

Et je pourrais continuer avec tous les membres du gouvernement, Condoleezza Rice et compagnie…

Si l’organigramme du gouvernement se confond souvent avec celui des grandes entreprises américaines, on pourrait en dire autant des liens économiques, stratégiques, militaires et politiques qui unissent, parfois dans le secret, les Etats-Unis et l’Arabie Saoudite. Ce n’est certainement pas un hasard si deux jours après les attentats du 11 septembre, le président Bush recevait à dîner en tête à tête l’ambassadeur d’Arabie Saoudite, le très puissant prince Bandar. Personne ne sait ce qui s’est dit ce soir-là.

Les liens entre le gouvernement, l’industrie – le complexe militaro-industriel n’est pas en reste –

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