L'Indonésie en première ligne face au catastrophes naturelles

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L'Indonésie est un archipel de 17 100 îles et îlots, où le mouvement des plaques tectoniques atteint 5 à 6 centimètres par an.

Elle se trouve entre trois grandes plaques tectoniques (indo-pacifique, australienne, eurasiennes) ce point à haute tension sismique, se nomme«la ceinture de feu».

Aux séismes, mais au tsunami de plus en plus puissant, s'ajoute le risque de submersion de centaines d'îles à cause du changement climatique.

Le 28 septembre 2018, l'île de célébes en Indonésie à subi à 30 minutes d'intervalle, un très fort tremblement de terre d'une magnitude de 7,5 et d'un déferlement de raz-de-marrée (tsunami).

la catastrophe à fait 2075 morts mais 5000 autres personnes sont toujours disparues, la plupart sont enterré sous les décombres des bâtiments détruits. On compte que 200 000 personnes ont un besoin urgent d'aide humanitaire à Palu et dans sa région. Environ 80 000 personnes ont pris place dans des logements de fortune près de leurs maisons détruites. Malgré la réticence momentanée du président Jako Widodo -pensant que l'armée de l'Indonésie pouvait faire face à la situation- des avions transportant de l'aide venue des Etats-Unis, d'Australie, de l'Union européenne et des Philippines, sont arrivés à Palu pour aider les autorités sur place.

Le relief de l'Indonésie et le plus souvent, des plaines côtières; les grandes îles ont des montagnes, dominer éar des volcans. Le mouvement des trois plaques, pressentent sous l'Indonésie, provoque des séismes sous-marins et des éruptions volcaniques sous-marines. L'Indonésie est en effet la région la plus volcanique du monde avec 129 volcans actifs.

La vulnérabilité croissante de la population indonésienne est aussi liée à l'étalement de l'espace bâti, sur ces espaces naturels à risque, autrefois laissés inoccupés parce que considérés comme potentiellement dangereux.

Les fortes densités de population, plus la venue des touristes dans les îles indonésiennes entraînent non seulement la concentration de l'habitat, mais aussi des aménagements d'espaces productifs et touristiques, notamment industriels, d'infrastructures de transports adaptées au besoin de mobilités de masse (autoroutes très fréquentées, lignes à grande vitesse; présent sur les bords côtiers) accentuent le niveau de vulnérabilités de ce pays face aux aléas potentiels.

Les bilans des catastrophes naturelles montrent que les pays développés (Amérique-du-nord; Europe; Océanie) sont moins sujets aux catastrophes naturelles que les pays en voie de développement (Amérique centrale et du Sud, Asie donc l'Indonésievet l'Afrique).

Le risque lui-même est ignoré par la population. En cas de catastrophe, les moyens de secours indonésiens restent insuffisants et rendent indispensables l'aide d'organisations internationales (ONU, Union européenne) d'État où d'organisation humanitaires (ONG) comme c est le cas pour la catastrophe cité précédemment.

Mais nous savons que la législation d'un pays en voie de développement pour gérer les risques et les catastrophes reste largement insuffisante.

Son niveau de développement

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