Internet face à la mondialisation

La mondialisation fait référence à la mise en relation des différentes parties du monde par des flux. La mondialisation est inséparable du capitalisme qui l’a mise en place. Ici, nous disposons deux cartes : l’une représente la répartition mondiale des serveurs hôtes en janvier-février 2011 mise en ligne par La Documentation française. Quant à l’autre, elle montre le pourcentage d’internautes utilisant internet et le réseau sous-marin des câbles internet.

Ainsi, nous pourrons nous demander comment ces deux cartes représente un fonctionnement en réseau à l’échelle mondiale et comment elles mettent en valeur l’intégration inégale des territoires à la mondialisation.

Pour cela, dans un premier temps nous allons observer le fonctionnement en réseau à l’échelle mondiale d’internet puis nous analyserons l’intégration inégale des territoires à la mondialisation.

D’emblée qu’est-ce Internet ? L’Internet est avant tout un réseau informatique mondiale constitué d’un ensemble de réseaux nationaux.

Tout d’abord nous pouvons directement observer dans le document deux, les réseaux de câbles internet (qui sont plus important selon leur flux) parcourant le globe entier ce qui appuie directement l’idée du fonctionnement en réseau à l’échelle mondiale d’internet. De plus dans le document un nous pouvons citer le terme “serveur” qui a ici toute son importance, puisqu'un serveur est un dispositif informatique qui offre des services à plusieurs clients notamment ici ouvert aux mondes. Enfin on peut voir dans le document deux, l’apparition de nœuds stratégiques dans différents pays, permettant ainsi l’échange internationale des flux d’internet.

En outre le fait que internet dispose bien d’un fonctionnement à l’échelle mondiale, nous avons malgré tous des inégalités à l’intégration des territoires à la mondialisation.

La mondialisation est l’ensemble des processus (socio-économique, culturels, technologiques, etc..) facilitant la mise en relation des sociétés du monde entier.

Aussitôt notre œil se porte sur le nombre abominant des serveurs hôtes que disposent les Etats-Unis que l’on peut observer dans le document un ou encore le pourcentage d’internautes aux Etats-Unis observable dans le document deux. Or contrairement aux Etats-Unis, nous pouvons observer aussi le taux de pourcentage d’internautes très faible en Afrique mise en valeur par le document deux et la faible possession de serveurs hôtes de l’Afrique vu dans le document un. Si l’on compare les Etats-Unis et l’Afrique sur ces deux plans, on remarque instantanément la différence de l’intégration de ces pays à la mondialisation ici au point de vue technologique.

De plus, à l’aide du document deux, nous pouvons observer une différence fondamentale du point de vue de l’importance des flux d’internet que l’on peut observer notamment au niveau de l’épaisseur des traits représentant les câbles d’internet. Cela est visible pour les Etats-Unis qui disposent pour la plupart de plus gros traits quant aux traits au niveau des côtes africaines.

Cela appuie

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