L'articulation entre l'histoire populaire et l'histoire scientifique

Depuis la fin de la guerre froide, une multiplications de nouvelles approches, plus en plus de remises en cause de l’écriture de l’histoire du passé = ravive les débats, les polémiques de l’histoire ( ex Vichy )

L’histoire est devenu un enjeux social et politique majeure. En France la place de l’histoire est centrale car mondialisation des enjeux d’histoire → enjeux de la shoah, du totalitarisme, l’histoire du communisme ( un débat non clos ), relecture du nazisme et du fascisme.

Une européanisation de l’histoire car les mémoires de certains groupes ont pris le dessus, les mémoires peuvent être valorisé par l’état. L’histoire devenu un objet de consommation.

Comment peut t’on articuler l’histoire populaire avec l’histoire scientifique ?

Pourquoi y a t’il un tel engouement aujourd’hui pour l’histoire :

- car nous vivons dans un monde de multi-crises, une crise pour envisager l’avenir

- un dérèglement pour la mémoire et l’oubli

La notion de progrès est totalement mal-menées, absence de certitude. La notion de patrimoine pour tout, des passées qui ne passe pas ( vichy, le colonialisme )

Engouement pour l’histoire des temps présent = multiplications des commémorations.

Écrire l’histoire ce n’est pas seulement un simple reflet du passé. La notion de progrès est totalement mal-menées, absence de certitude. La notion de patrimoine pour tout, des passées qui ne passe pas ( vichy, le colonialisme )

Engouement pour l’histoire des temps présent = multiplications des commémorations.

Écrire l’histoire ce n’est pas seulement un simple reflet du passé.

Grandes diversité des écritures de l’histoire, de nouveaux usages du passé, nouvelles pratiques de recherche, tournant culturel, tournant du langages, du genres, post-colonial, histoire global. La manière dont on fait de l’histoire a connu de nombreuses mutations.

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