Le réchauffement climatique rend la terre invivable
Fiche : Le réchauffement climatique rend la terre invivable. Recherche parmi 302 000+ dissertationsPar toscane.273 • 1 Juin 2025 • Fiche • 749 Mots (3 Pages) • 639 Vues
Le réchauffement climatique rend la terre invivable
- « Ils l’avaient dit, m’avait dit ma mere ; ils le savaient, ils le savaient depuis des décennies que l'activité humaine réchauffait considérablement la planète et que cela pourrait être potentiellement très dangereux. Mais personne n’y avait prêtait attention. Maintenant nous en subissions les conséquences : nous, les malheureux, les victimes, les bouc émissaires de nos ancêtres.
Tout les jours, nos erreurs coûtaient la vie a plus de 3000 innocents
- « Les forêts précèdent les peuples, les déserts les suivent »
- il portait la mort sur son visage
- atmosphère pesante
La chaleur affaiblissait chacun de mes pas, et les rayons du soleil me brûlait l’arrière du crane : le soleil m’attaquait de toute part sans me laisser le moindre répit. Des gouttes de sueur coulaient le long de mon visage avant d’aller se dissimuler derrière ma nuque. Vêtu d’un foulard en guise d’ombrelle, je marchais paisiblement, mais chaque pas me demandais un peu plus d’efforts.
Devant moi, les arbres, les champs et les rivières avaient disparu pour laisser place à de longues étendues de sables et des terres asséchées. Le ciel était gris et orangé ; une épaisse couche de poussière s’était glissé dans la stratosphère, ralentissant le processus de photosynthèse des plantes encore restante. Cela avait eu pour conséquence, le trépas de n’importe quel animal pour qui sa chaîne alimentaire était basée sur des organismes photosynthétique terrestres ou aquatique.
Cela faisait maintenant plus de 3 semaines que j’errais de village fantôme en village fantôme. Mon cœur se serrait a la vue de tout ces désastres ; la plupart des bâtiments étaient délaissé et en ruines, il m’arrivait, des fois, de croiser quelques personnes dans un village ; des orphelins souffrant de paludisme, des familles affamées, des réfugiés climatiques n’ayant nul part où se loger. Pour tout le monde, la vie n’était plus que fatigue, chaleur et malheur. La plupart des habitants des villes et village encore en vie rejoignaient les capitales où l’humanité subsistait encore. Moi aussi.
J’avais fuis la ville de Nantes, en France qui avait complètement était ensevelit par l’Ocean Atlantique. Ce qui fut le cas pour toutes celle de la cote ouest et du nord de la France. L’Hexagone n’était à présent qu’un simple losange.
Ma destination était la ville Lumière, la capitale de l’amour, de la mode, de la gastronomie qui n’était qu’a présent une ville silencieuse, endormie et brûlante de fièvre où ses habitants ne sortaient pas de chez eux. La tour Eiffel avait sombré d’un ouragan il y avait bien longtemps maintenant.
Nous étions en hiver, mais comme tous les soirs, je me posais pour dormir, n’ayant nul besoin de chauffage ni de couverture. A mon réveil, je repris mon périple, et j’arrivais enfin dans la ville anciennement nommé Chartre, où du mois ce qu’il en restait. La ville était calme, sereine. Autour de moi, je vis un paysage dantesque, un grand désordre ; des débris de maisons démolis jonchés le sol, qui était lui-même cramoisi et asséché, des voitures étaient renversées. Il n’y avait dans ce décors inquiétant aucune plantes vertes, les seules traces de vie étaient les corps écrasés par les épaves. A ma droite, je pouvais encore distingué
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