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Economie d'entreprise : le tissu économique des entreprises françaises

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Par   •  16 Octobre 2017  •  Cours  •  1 232 Mots (5 Pages)  •  759 Vues

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 ECONOMIE D’ENTREPRISE

Chapitre 1 : le tissu économique des entreprises françaises

  1. Principes fondamentaux
  1. Définitions, types d’entreprises

Les entreprises sont des agents économiques. Elles produisent des biens et des services consommés par d’autres agents économiques.

2 à 3 millions d’entreprises en France.

Start-up : 10% en France

  1. La création d’entreprise

-une idée

-faisabilité

-budget

-projet

La franchise est un contrat par le biais duquel un franchiseur permet à un commerçant d’exploiter sa marque en échange, pour le franchiser, de droit d’entrer et d’une redevance annuelle (pourcentage chiffre d’affaire).

  1. L’entrepreneuriat
  1. Définition

Schumpeter :

  1. Parties prenantes

Ce sont les acteurs de l’entreprise. Ce sont tous ceux qui peuvent être affectés ou qui affectent par les objectifs de l’entreprise.

-apporteurs de capitaux/actionnaires

-détenteurs de parts sociales (actions)

-salariés

-consommateurs/clients

-concurrents

-fournisseurs

-ONG/assos

Toutes ces parties prenantes ont des intérêts divergents mais elles doivent collaborer ensemble afin de pouvoir développer et maintenir la stabilité de l’entreprise.

Chapitre 2 : Le processus décisionnel et les différents styles de direction

  1. La prise de décision dans les entreprises
  1. Les différents types de décision

-décision stratégique : décision qui engage la pérennité de l’entreprise, qui engage l’avenir de l’entreprise sur le long terme, elle est rarement réversible.

-décision tactique : mise en œuvre d’une décision stratégique. Elle peut avoir un impact sur l’entreprise. Elle est liée à la décision stratégique, moins grave parce que ce n’est pas la remise en question de tout mais juste d’un seul point.

-opérationnelles : décision relative au fonctionnement de l’entreprise qui ont peu d’impact sur elle.

  1. Le processus de prise de décisions

-théorie de la rationalité limitée : les décideurs ne réfléchissent pas de façon rationnelle, ils peuvent être influencés par de nombreux éléments (école, parcours, expériences, formations…)

-facteurs de contingences : taille, le temps dont on dispose, le budget, l’informations, l’environnement, les nouvelles lois, la personnalité du dirigent, le type de communication…

(-choix, analyse, pour, contre, possibilités, contrôle, adéquation)

Il n’existe pas de bonne décision à prendre, il existe uniquement une meilleure décision, une décision optimale à prendre à un moment donné en fonction des paramètres.

  1. Les différents styles de direction
  1. Identification

-autoritaire : communication descente, la motivation repose uniquement sur la sanction

-paternaliste : bienveillance, communication descendante (motivation repose sur la récompense)

-consultatif : communication ascendante et descendante il y a une double communication mais on ne tient pas compte de l’avis

-participatif : prise de décision collégial (tout le monde prend des décisions)

  1. Facteurs d’influence

Les dirigeants peuvent être influencés (dans leur comportement)

        1er facteur ; la personnalité du dirigeant (expérience diplôme compétence son âge)

          2ème facteur type de structure de l’organisation : taille, secteur.

Organigramme : hiérarchie → répartition, organisation, contrôle des différentes tâches. La structure c’est la façon dont les choses sont organisées.

De nos jours on s’oriente de plus en plus vers des structures souples et flexibles qui requièrent autonomie et qualification des salariés.

La décentralisation du pouvoir consiste à donner une véritable autonomie et les responsabilités qui vont avec. EN revanche quand il y a délégation du pouvoir, celui qui délègue conserve le contrôle et la responsabilité. C’est la différence entre délégation et centralisation (contrôle et responsabilité)

3ème facteur : environnement

législation, fiscalité, prise en compte des principes du développement durable , la conjoncture extérieure, nationale et internationale

Conclusion : Il n’existe pas d’exercice du pouvoir type à préconiser. Il est fonction de différents paramètres, du contexte générale dans lequel évolue l’entreprise, de ses salariés...

Comment rédiger le cas d’entreprise ?

Ex : Style participatif ; expliquer pourquoi il est participatif

Prises-en compte des salariés

Rémunération

Avantages et limites : moins de turn over

Taux d’absentéisme faible

Chapitre 3 : Le management dans l’entreprise

  1. La GPEC

  1. définition

C’est la gestion prévisionnelle des emplois et des compétences

On est dans un mode qui évolue très vite

Les entreprises doivent donc tout le temps s’adapter

GPEC : adapter en permanence les besoins de l’entreprise face au ressources humaines

Cette adaptation peut se faire d’un point de vue quantitatif ou d’un point de vue qualitatif. La GPEC peut se faire par le biais des recrutements, des licenciements ou de l’impartion (s’agit de confier une partie de ses activités à des prestataires extérieurs)

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