Vincent Passion
Note de Recherches : Vincent Passion. Recherche parmi 298 000+ dissertationsPar toxychronos94 • 12 Janvier 2014 • 368 Mots (2 Pages) • 735 Vues
Vincent tu es la passion de mes nuits,
Tu es proportionnellement bon à la taille de ton front,
Je t'embrasse le bout du zizi.
Tel un buisson se frottant sur le long tron.
Un Bison aux cheveux noirs
Un dos fragile comme un chameau
La chaleur est agréable tel un chalumeau,
te déformant du bassin jusqu'à tes côtes en poires
Tu es mon amour, une délicieuse boisson,
Que je sirote longuement à foison
Tu me le rends avec ton lait chaud
Qui m'a ensemancé l'organe comme du cacao
La poésie c'est génial en fait quand on regarde bien le délire t'as vu aujourd'hui il perdure du lourd dans toutes les sociétés armoricaines que ce soit du dj quik bien g fonk comme on aime à l'ancienne ou en version plus soft des films relatant l'histoire du cinéma moderne relatif aux péripéties perpétrs par Voltaire dans le but de plaire tel un papillon frolant l'air et parcourant les airs
Les trois textes du corpus, le portrait de Gnathon par La Bruyère, l'extrait de Choses vues de V. Hugo et « La grasse matinée » de Prévert ont en commun de vouloir dénoncer l'égoïsme et l'indifférence à la situation d'autrui. Tous trois cherchent à susciter l'indignation du lecteur. La Bruyère décrit un personnage totalement égocentrique qui méprise autrui et ne pense qu'à son propre intérêt. V. Hugo rapporte une anecdote dans laquelle un homme misérable, arrêté pour avoir volé du pain, observe une riche duchesse qui, elle, ne le remarque même pas. Enfin, Prévert raconte l'histoire d'un homme qui n'a pas mangé depuis trois jours, sans rencontrer la compassion de quiconque, et qui finit par tuer un homme pour lui voler quelques pièces et se nourrir. Les trois textes ont donc une portée relativement polémique dans leur dénonciation de situations injustes. En outre, dans les trois cas, les individus présentés ont une dimension allégorique. En effet, Gnathon reste relativement indéterminé, de même que « l'homme » présenté dans le texte de Prévert. Hugo remarque même explicitement que « cet homme n'était plus pour [lui] un homme, c'était le spectre de la misère, c'était l'apparition […] d'une révolution », l'homme devient alors le symbole de tout un peuple oppressé par une noblesse indifférente. Cependant, ces textes présentent des différences au niveau
...