Veille Operationnelle

VEILLE OPERATIONNELLE

3 typologies d’informations :

Information formelle : écrite, support numérique (trace).

Information informelle : pas de support, pas de trace écrite (tout ce qui est dit) « bruits de couloir ».

Information opérationnelle : très ciblée, précise. Information brute très peu traitée à destination des professionnels (ingénieurs, techniciens).

Information tactique : traitement plus lourd que l’information opérationnelle. Information traitée, analysée, non brute (sondages).

Information stratégique : information qui ne concerne pas directement l’entreprise, information souvent de grande ampleur. Elle permet d’établir des indicateurs (études Insee, Crédoc). C’est une information accessible.

Information blanche : facilement accessible pour nous (journaux, internet…) information qui a peu de valeur car extrêmement diffusée. Elle nécessite beaucoup de tris et de traitements (80% de l’info récoltée).

Information grise : difficilement accessible, souvent informelle et que l’on obtient grâce au réseau (confidences, indiscrétions, expertises). Forte valeur (5% de l’info récoltée).

Information noire : niveau d’information décisif pour l’entreprise, qui ne peut être acquise que de façon illégale (espionnage industriel…).

On peut définir la veille comme la somme de l’utilisation de :

La culture générale

L’observation personnelle (comportements, pratiques culturelles)

La connaissance de son environnement professionnel

La veille doit être adaptée à la nature de l’entreprise et peut être définie dans un cadre d’information formelle. Dans une approche globale, il est possible de définir une méthodologie « universelle » : «  méthodologie du cycle de renseignement  »

Cycle du renseignement

Définition du besoin

Diffusion Collecte

Traitement

Dans notre métier, la veille consiste a considérer la communication comme l’un des systèmes de l’entreprise, lui-même constitué d’un ensemble de sous-systèmes qui sont indissociables et fonctionnant en permanentes interactions.

2 types de sous-systèmes : internes et externes. Ils représentent un ensemble de contraintes et de changements que l’on doit prendre en considération dans le projet de communication.

Sous système interne : salariés, tissus sociaux de l’entreprise, les syndicats

Sous système externe : clients, les médias, les concurrents, les actionnaires, les associations

L’ensemble des opérations relatives à l’activité de veille et d’étude au service de la communication d’entreprise

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