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Système d'information 2014

Étude de cas : Système d'information 2014. Recherche parmi 298 000+ dissertations

Par   •  28 Décembre 2017  •  Étude de cas  •  528 Mots (3 Pages)  •  442 Vues

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BTS BLANC

Léa CAZALENS BTS AG 2A

Système d’information

Partie 1 : gestion de l’information

1.1/

Les faiblesses que rencontre le système d’information sont organisationnelles et de matériel. Sylvain n’a pas accès au logiciel comptable, alors qu’il en a besoin pour s’assurer de la solvabilité de ses clients, et Nathalie (la seule qui y a accès) n’est pas tout le temps disponible.

De plus, il y a une mauvaise gestion des stocks, certains collègues de Sylvain n’ont pas tout le temps le temps d’enregistrer les sorties de stock qui apparaissent sur les ordres de fabrications. Par conséquent il lui arrive de compter sur des quantités virtuellement disponibles mais qui ne le sont pas physiquement, ce qui génère du retard.

Le PGI pourrait permettre à Sylvain de suivre l’état des comptes de ses clients.

Il pourrait également permettre de suivre l’état des stocks en tant réel car les sorties seraient directement retirées du stock.

1.2/

Annexe A

1.3/

  • Les noms et adresses des fournisseurs du Lot et Garonne (département 47)

SELECT nomFournisseur, adresseFournisseur, cpFournisseur, villeFournisseur FROM FOURNISSEUR

WHERE cpFournisseur LIKE « 47% » ;

  • La liste des fournisseurs (et leur adresse) dont la spéciliaté est « outillage »

SELECT nomFournisseur, adresseFournisseur, villeFournisseur, speFournisseur FROM FOURNISSEUR, SPECIALITE

WHERE speFournisseur= idSpecialité AND libelleSpécialité= « OUTILLAGE » ;

1.4/

Cette requête SQL permet d’obtenir l’information suivante : Le montant des achats pour chaque fournisseur.

SUM étant la somme des données d’un champ donc le montant des achats

Et GROUP BY, permet de regrouper ces dits montants d’achats par fournisseur

1.5/

Afin d’intégrer la diversification des fournisseurs il faudrait ajouter une table

« possède » avec pour clé primaire l’id d’une spécialité et l’id d’un fournisseur.


Partie 2 : Participation à la gestion des risques

2.1/

L’atelier est séparé du bâtiment principal de 150m, cette distance semble rendre difficile la liaison internet par un câble, d’une part car ce n’est pas pratique car ils sont également séparés par la zone de stockage et d’autre part car la longueur du câble lui ferait perdre du signal. Comme dans de nombreux foyers, la liaison entre les bâtiments pourrait se faire par la fibre en reliant les deux blocs représentés sur le schéma et non nommés.

LLMECA pourrait également utiliser la wifi mais la sécurité que cette dernière propose n’est pas à 100% fiable car facile à pirater par des personnes professionnelles. De plus, la zone couverte pas la société étant très grande cela pourrait rendre la communication difficile.

2.3/

Points faibles :

  • Les serveurs ne sont pas suffisamment sécurisés (dans les bureaux), ils devraient être concentrés dans un même endroit sécurisé en permanence. Par conséquent, il en est de même pour les sauvegardes car elles sont installées sur les serveurs par le programme de sauvegarde « backup exec »
  • Présence d’un pare-feu à l’entrée du réseau pour les attaques externes, mais pas d’onduleurs, solutions en cas de coupures d’électricité.

2.4/

Afin de sécuriser l’accès de Nathalie au serveur de l’entreprise depuis l’extérieur il faudrait mettre en place un système de protection permettant de crypter les données afin qu’elles soient inaccessibles ou inexploitable par les autres utilisateurs de l’internet. De plus l’ordinateur portable qui lui sera prêté devra présenter les mêmes conditions que les ordinateurs présents au bureau, à savoir un code d’accès strictement confidentiel et un changement de ce dernier régulier.

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