Semco cas

SEMCO, de toute évidence, remet en question les principes piliers de l’organisation scientifique ainsi que celle de l’administration classique. La vision de Ricardo Semler est celle d’une entreprise avec des principes et valeur démocratique, qui partage le profit et qui maintient la transparence de l’information.

Dans un système d’organisation scientifique et d’administration classique, la division du travail est claire. Elle se fait à la verticale. L’autorité et les responsabilités augmente avec le niveau sur l’échelle hiérarchique ainsi que le degré de centralisation.

Par conséquent, l’ouvrier n’a aucun pouvoir sur la manière d’exécuter sont travail. Il a été formé, spécialisé pour rencontrer des standards et des niveaux de productions établit par la compagnie afin de maximiser la rentabilité, d’augmenter le profit de l’entreprise tout en diminuant les couts de production. Il n’a aucune valeur intellectuelle. « Vous n’êtes pas là pour penser ! » (Management à l’ère de la société du savoir, p. 37, encadré 1.6).

Les managers doivent se plier eux aussi au exigence parfois démesurer de la direction qui eux, à leurs tours, doivent assurer des profits de plus en plus gourmant de là par des actionnaires. L’employés ce voit rémunéré selon sont rendement et la complexité du travail à exécuter.

Par contre, SEMCO mise sur un « style managérial ouvert » (Stockport, 2010, p. 331). Cette dernière s’appuie sur trois principes et des valeurs ; la démocratie, le partage de profit et la transparence de l’information.

La démocratie, « valorise la sagesse des gens » (Semler, 2007, p.13), les intérêts et les idées des employés sont mise de l’avant. La valeur intellectuelle de l’employés est mise au profit de l’entreprise

Le partage de profit, ce sont les employés qui décident comment distribuer le profit. « Le but du travail n’est pas de gagner de l’argent. C’est de faire que ceux qui ont un travail pénible aussi bien que les cadres dirigeants se sentent bien dans la vie. » (Semler, 2004, traduit par Trouvé, 2005, p. 14).

La transparence de l’information

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