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Rieux

TD : Rieux. Recherche parmi 298 000+ dissertations

Par   •  22 Février 2016  •  TD  •  486 Mots (2 Pages)  •  573 Vues

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 INTRO:

Rieux

 

         Il est le narrateur de cette chronique, c'est un des personnages principaux de La Peste c'est un médecin de 35 ans, aimant sa mère et sa femme qu'il perdra avec son seul ami nommé Tarrou après le fléau.  Il travail dur afin d'arrêter la peste et diminuer les souffrances durant cette dur période en attendant le sérum.

 Rieux est un homme cultivé et assez philosophe, (il est la plus proche représentation de camus dans l’œuvre), et garde les pieds sur terre tout au long du récit il ne croit pas à la théorie du châtiment divin de Paneloux (pensée humaniste), d'ailleurs dans l'exicipit il se forge un avis sur l'Homme et l'absurdité de la vie il donne aussi avertissement aux oranais qui fêtent deja la fin du fléau comme si il n'avait pas eu lieux alors qu'il peut ressurgir à tout moment et lui en est conscient.

Citation:

«Écoutant, en effet les cris, d'allégresse qui montaient de la ville, Rieux se souvenait que cette allégresse était toujours menacée. Car il savait ce que cette foule en joie ignorait, et qu'on peut lire dans les livres que le bacille de la peste ne meurt ni ne disparaît jamais {…}» (dernier paragraphe excipit)

Rieux et donc un personnage qui lutte en essayant de combattre avec peine le fléau de la peste

Les Oranais

    Au débuts du roman la ville d'Oran est décrite comme une ville morne sans intérêts, sans vie. Cette ville est vicié comme les habitants d'ailleurs >>attiré par l'argent les jeux et les plaisirs simples.

Les habitants passe par plusieurs phases dans leur réactions face à la peste (ses réactions diffère selon les phases de la peste) au début du roman ils sont affolé et veulent même quitté la ville mais ne peuvent pas à noter que la peste les ramène à la réalité et les sorts de leurs routine en leur rappelant que la mort s'abbat sur n'importe qui n'importe, puis ils sont consterné obligé d'accepter le fléau qui sabbat sur eux impuissant face à la mort. Même les prêches de Paneloux qui les prévient et les force à se repentir n'ont presque aucun effet sur eux ils font semblant de se sentir concerné mais ce n'est pas le cas. Puis peu à peu le peste s'installe dans leur vie de tout les jours comme une normalité, la monotonie reviens mais différemment de celle du début car chaque jours ils sont confronté à la crainte de la mort. Et pour finir celle-ci s'en va lentement et les Oranais réagissent avec allégresse et reprenne leur vie comme si de rien était comme si personne n'avais était touché par le fléau, ils n'ont rien retenu de cette expérience. On assiste encore à une référence de l'asurdité (Sisyphe).

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