Petit Essai

Dès que j’entendis la sonnerie du lycée je me levai de ma chaise de cours qui avait pour habitude de grincer, rendit mon devoir sur lequel je me suis endormis, puis j’envisageai de courir jusqu’au portail. Lorsque je passais la porte de la salle de cours, ma professeur m’interpella et me dit:

«- tu viendras vendredi de 15h à 16h rattraper ton devoirs tu n’as rien fait, je suis sûre que tu peux faire mieux!»

Je ne me préoccupais pas de ce que me disait Mme Lachaise, mon professeur de mathématiques qui dans tout les cas et sure que je peut faire mieux même avec un 16 sur 20. La seule chose à laquelle je penser c’était de rejoindre ma maman à l’adresse qu’elle m’avait communiqué quelques heures avant. Seulement mon petit ami nommé Samuel, un jeune homme blond au yeux bleu océan m’attendait au portail pour me ramener chez moi comme à chaque fois. Je me rendis compte que je ne pouvais rien lui dire a propos de mon rendez vous avec ma mère vu que je n’en savais pas plus; alors je m’avançai jusque devant la portière de la voiture rouge où il était accoudé. Je décidai de lui dire que j’avais une petite course à faire, seulement Samuel insista pour m’accompagner. Comme ne sachant quoi lui dire je mis à courir dans la direction opposé à l’adresse donnée par ma maman pour l’évite. Lorsque je m’en suis rendu compte je me suis stoppai net, je sentais mon cœur battre a toute vitesse dans ma poitrine, je ne pouvais plus respirer ma cage thoracique avait du mal a se soulevé pour laisser passer l'aire, mes idées étaient toutes confuses je ne savait plus où j’étais ni comment je m’appelais. Mes jambes avaient du mal à porter mon poids, tout mes membres tremblaient; je me demander si s’était parce que j'ai froid ou si s’était les premier symptôme de l’évanouissement. J'entendais les cris de Samuel qui commencer a ce rapprocher, les seule chose que je comprenaient étais «Maywen bouge, reste pas la » , j'avais beau essayer de décoller mes pied du sol mais ils ne bougés pas, j'avais l'impression qu'ils venait de prendre racines. Toutes les images du passer me revenaient en tête, j'entendais des bruits de plus en plus sourds puis en tournant sur moi même j’aperçus deux lumières blanches qui m'éblouissaient. En placent ma main devant mes yeux pour essayait d’atténuer l’éclat de la lumière, j’aperçus une femme dont le visage étais remplit de peur. J'entendis un bruit sourd avant de ressentir une douleur au niveau des mes côtes puis en ouvrant les yeux j’étais allongée sur le goudron les mains couverte de sang. Tout les bruits de la ville résonnaient en moi. Je trouvais mes paupières de plus en plus lourdes jusqu'au moment où elles se fermons.

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