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Maupassant et la classe aristocrate

Commentaire d'oeuvre : Maupassant et la classe aristocrate. Recherche parmi 298 000+ dissertations

Par   •  25 Avril 2019  •  Commentaire d'oeuvre  •  532 Mots (3 Pages)  •  405 Vues

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La classe aristocrate est prête à tout pour atteindre leur but et a usé avec hypocrisie d’insinuation, de  manipulation et  de veine promesse.

        

La négociation que les aristocrates imposent aux agriculteurs fait ressortir leur méchanceté.

On s’aperçoit, que les de huniers,  malgré leur actif, rien ne leur vient l’idée d’adopter un enfant. Ils préfèrent acquérir aux Tuvache et aux Vallin. Et malgré tout, ils ne paraissent pas ressentir de honte.

Par opposition , l’amour de Madame d’Hubières pour les enfants moins que rien ne paraît sincère, mais quand il vient le temps de choisir, peu lui touchent .qu’il soit Tuvache ou Vallin. Tant qu’on satisfait son caprice d’enfant gâté.

Quand l’oseille est en jeu, les Vallin font passer le bien matériel pour une préférable condition de vie que l’amour de leur gamin.

Lorsque Monsieur d’Hubières transige avec plus d’insinuations, les Vallin acceptent ce marché comme une solution d’échapper à leur minable vie.

Cette manipulation de la classe supérieure dévoile que les agriculteurs qui par nécessité et obéissance sont amenés à vendre leurs enfants.

Cette nouvelle critique la cruauté et l’irresponsabilité de l’Homme envers les animaux domestiques.

L’avarice de cette campagnarde l’amène à demeurer cruelle à l’égard de l’animal. En premier lieu, elle ne veut pas débourser aucun sou, au point ou , elle préfère persécuter son petit canidé, sans pitié.

 L’attitude de MmeLefèvre est considérée dans ses faits et gestes. En effet, bien que cette veuve se laisse passer pour une femme de bienfaisance , on comprend qu’elle est tout l’inverse.

On peut en interpréter, que la générosité de madame Lefèvre n’est qu’une apparence.

Aussi, son grand amour pour son trésor parvient à lui supprimer tous ses sentiments.

La méchanceté de la campagnarde est considérée dans le sort lugubre de son animal dans la marnière. Par le fait ,  celui-ci va énormément morfler par le choix égoïste de son maître.

La situation de la malheureuse bête après la glissade nous manifeste de l’atrocité  de la Normande. Les conditions de vie au fond de la chaumière sont inhumaines, car ils ne sont pas seuls  dans la carrière.

Dans cet abime , c’est la réglementation du plus fort qui est en jeu. En se soulignant à nouveau que Pierrot est petit et maigre, on en conclut que ce dernier est fourni à un décès certain.

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