Ma maison

J’aime ma maison comme elle est. Il est difficile de définir le logement parfait où l’on doit habiter. L’habitat ne doit pas être confondue avec le logement, des personnes sans logement peuvent se créer un habitat ou résider, ou encore trouver un endroit ou crécher. L’habitat se définirait pour moi, comme un endroit que l’on occupe par choix ou non, pour un labs de temps indéfini. Tandis que le logement est un local qui à pour but d’être habiter. On se demandera alors, s’il est possible de loger dans un habitat quelconque ? Dans un premier temps, nous verrons que l’habitat ne définit pas le style de vie et dans un second temps, qu’un logement est propice a l’épanouissement.

L'habitat ne définit pas le style de vie. Un habitat n’est pas représentatif de la vie que l’on doit mener ou non. On verra que l’habitat n’est pas une contrainte a la vie dans une première partie et que l’habitat à une fonction particulière dans une seconde partie.

Le logement n’est pas une contrainte a la vie. Un logement ou un habitat ne définit pas une classe économique ou professionnelle, il est vrai que cela renvoie une certaine image, mais la vérité n’est pas toujours celle que l’on pense. C’est ce que montre James Mollisson, dans Where Children Sleep. Il s’agit d’un projet sur lequel le photographe fait le tour du mondain prenant en photo des enfants et leurs chambres. On peut y trouver des enfants avec des apparences qui reflètent bien leurs chambres ou leur habitat, et d’autres qui n’ont aucunes ressemblances avec le lieu ou ils dorment. On peut y trouver des enfants avec de très belles chambres, comme d’autres qui vivent dans la rue. On peut voir que l'habitat n’est pas une contrainte pour y vivre, meme si l’habitat est très rudimentaire.

L’habitat a une fonction particulière. L’habitat peut-être vu comme un simple outil, où l’on dort, où l’on stocke ses affaires ou encore où l’on cuisine. Les personnes qui vivent sans murs, sans toit, sans électricité ou sans eau, certaines le font par choix car elles n’en ont pas ou ne ressentent pas le besoin. On peut voir cet aspect notamment avec les gens du voyage, dans le film Khamsa, paru en 2008 et réalisé par Karim Dridi, qui retrace la vie d’un petit gitan qui fuie sa famille d’accueil pour retourner dans son camp. Ils vivent très souvent en caravanes, se déplacent et non pas accès a tout les luxes qu’un logement sédentaire pourrait offrir, mais ils vivent de cette manière par choix. Leur logement a une fonction particulière, et cela est propre a chacun en fonction des priorités et du style de vie qu’il a choisi d’adopter.

Nous avons vu que l’habitat ne définit pas le style de vie, qu’il n’est pas une contrainte a la vie et qu’il peut avoir une fonction particulière, nous allons maintenant que le logement doit être propice à l’épanouissement.

L’habitat doit être propice à l’épanouissement. Un habitat nous est propre et il doit être comme on le souhaite. Il apporte sécurité, stabilité et une protection du monde extérieur. L’habitat doit être viable, c’est ce que nous verrons dans une première partie et que le logement amène une stabilité dans une deuxième partie.

L’habitat doit être viable. Un habitat ne doit pas mettre son habitant en danger, le logement est la pour le protéger et lui être utile. L’habitat ne doit pas être une contrainte qui n’est pas voulu. Il doit être le plus avantageux pour nous et notre style de vie, afin d’aspirer au bonheur. Une personne n’ayant pas de toit car elle ne peut pas ne peut se trouver épanouie. On peut voir dans Yakari, bande dessinée basé sur l’histoire d’un petit indien, qui vit sous des tippis, un style de vie avec un confort réduit, mais cela est fait par choix afin de d’avoir un mode de vie rudimentaire.

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