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L’invention du cinéma

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Par   •  6 Février 2014  •  3 242 Mots (13 Pages)  •  795 Vues

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HISTOIRE ET THEORIE DU CINEMA

Partiel : consiste en une question de cours a développer en 45 min

I – L’invention du cinéma

Avant l’invention du cinématographe (8/12/1895) une série d’expérimentations sur le cinéma et la photographie a été nécessaire.

1.Caméra obscura

Son principe a été décrit par Aristote au IV siècle avant JC. Elle a commencé à être utilisé au XVI siècle et à été étudié par Léonard Devinci. Ce procédé va être amélioré en 1540 par Jérôme Cardan. Grâce à l’ajout d’une lentille optique et d’un diaphragme.

1.Lanterne Magique

Un peu plus tard, au XVII siècle, Athanase Kircher améliore la caméra obscura, grâce a la possibilité d’utilisation d’une lumière artificielle, elle se compose de trois éléments : une source lumineuse, une plaque de verre peinte et un objectif. C’est un lointain héritier du théâtre d’ombre chinoise.

1.Le thaumatrope

Vers 1825, John Ayrton invente le Thaumatrope. C’est un disque où sont dessinés sur les 2 faces des dessins. Il Stimule la persistance rétinienne ce qui permet à l’œil de garder l’image en tête.

1.La photographie

La photographie a été inventée par Nicéphore Niepce en 1826, qui a nécessité 14h de temps de pose « Point de vue du gras »

1.Le phénakistiscope

Le physicien Joseph Plateau met au point cet appareil en 1833 ; c’est un disque rond où est dessiné plusieurs étapes d’un mouvement. Pour reconstituer le mouvement, le spectateur regarde entre les fentes un miroir qui réfléchit les dessins et grâce aux ambres ces dessins se transforme en mouvement.

1.Collodion Humide

L’anglais Frédérick Scott Archer invente en 1851 le collodion humide qui a permis de réduire le temps de pose d’une photo considérablement. Puis en 1878, le photographe Edward Muybridge réussit à décomposer le mouvement de la course d’un cheval en le photographiant (12 puis 24 i/s).

1.Fusil Photographique

En 1822, Etienne Marey invente le fusil photographique, qui permet de prendre des photos en rafale, il pouvait enregistrer 12 i/s

II – Naissance du cinéma

1.Les frères lumières

La naissance du cinéma date de la première projection publique donnée par les frères lumières au salon indien du grand café le 28/12/1895 après de nombreuses répétition privées. Le film se nommait « La sortie de l’usine lumière a Lyon ». L’invention qui a permis cette prouesse c’est le « Cinématographe Lumière », le brevet de cette caméra, tireuse et visionneuse est déposé le 13 février 1895. Mais en 1896, les frères lumières doivent faire face a la concurrence, notamment avec le « vitascope » d’Edison. Pour cela, les frères lumières recrutent des opérateurs qu’ils envoient un peu partout afin de réaliser des documentaires, reportages et fictions.

1.George Meliès

Après que les frères lumières ait accepté que George Meliès cherche a se démarquer en réalisant des films susceptibles d’être projeté au théâtre Robert Houdin avec « L’escamotage d’une dame », Meliès vas tourner de faux reportage comme « Visite du sous-marin Maine » et tourne aussi des actualité comme l’affaire Dreyfus. Meliès aime le trucage et l’illusion, il devient maître dans l’art de la sur impression. Il vas faire bâtir un studio qui est un mélange d’une proportion de scène théâtrale et d’un studio photographique avec la serre de verre, il appelé ce studio « L’atelier de pose ». Pendant toute sa carrière il va tourner 500 films qui apportent beaucoup aux bases du cinéma. Il est un des premier qui réalise les premier rapport comme « voyage dans la lune » qui se compose de 30 plans, ce film s’inspire d’autre films parlant de la lune. Il y a un gros travail sur les plan en gérant le champ/hors champ et ellipse. Ce sera un véritable événement avec un grand succès.

1.Maison de production

2 grandes maisons sont né en 1896, l’une dirigé par Charles Pathé et l’autre par Léon Gaumont. F. Zecca : Père du naturalisme (investigation objective du monde conçu sur le modèle des sciences. Il réalise « l’histoire du cinéma » Le traitement de ces fait divers, lors de la décapitation chez Méliès, pas brutal. Pour la même scène, traitement naturalise : Brutal, pas le temps de voir qu’il y a eu substitution. Prisonnier pense a ce qu’il fait juste avant la décapitation : inscrit au flash back Alice Guy : 1ère femme réalisatrice, qualité mélo dramatique, soin apporté aux personnages féminin Marc Sender : Est influencé par Chaplin 1909. Grande popularité en France et auras réalisé 150 films : Homme Orchestre. Griffith : Il commence a travailler dans le cinéma en 1907 comme acteur, dans un des film de Edwin Porter, Griffitz fait Rescued From an Eagle, il a tourné 450 films. Son gout pour la littérature va le pousser à adapter des œuvres. C’est un des plus important réalisateur « Muet » aux US.

III - Cinéma soviétique

1.Koulechov et Poudovkine

Pour Sadoul ; 1929 ; quand Lénine nationalise l’ancien cinéma tsariste (….) Lénine : « le cinéma de tous les arts pour nous le plus important » -> L’URSS soutient le cinéma idéologique. Koulechov crée le laboratoire de cinéma expérimental : afin de montrer le rôle du montage (beaucoup d’expérimentation du montage) On trouve au coté de Koulechov quelques un des futurs cinéaste de l’union soviétique : Poudovkine avec qui il vas écrire un ouvrage sur les résultats de leurs expérimentation. Les films de Koulechov sont une étape clés de l’histoire du cinéma ; les films démontrent que le montage est producteur de sens. Koulechov assisté de Poudovkine a pris un gros plan de mochvoukine afin de tester le gros plan « inexpressif » et un plan d’une assiette. Ces trois montage sont présenté a une assemblée qui vois (…) Homme + soupe = faim Homme + cercueil = Triste Homme + femme = désir L’expérience montre clairement que l’association de deux plans qui n’est pas égal a la somme de leurs contenu. Autrement dit a+b n’est pas égal a ab mais à c. On s’aperçoit que la même image prend une situation différente selon l’image qui lui est associé ; le spectateur interprète l’image en fonction du plan précédent. Cette expérience présente l’avantage d’une démonstration, le montage qui produit du sens est donc prouvé ; on peut manipuler aussi bien avec le montage qu’avec le cadrage. Koulechov et Poudovkine sont donc les pionniers du montage expérimental.

1.Dziga Vertov

Dziga Vertov; c’est un cinéaste atypique qui a travaillé sur de nombreux documentaires, c’est le monteur des premières actualités soviétique, sont approche du cinéma, il l’as doit beaucoup a Koulechov et Poudovkine. Il réalise des films de montage a base d’image d’archive. Sadoul : Il entendait bannir comme invention bourgeoise le scénario, la mise en scène, les acteurs, les studios, etc. Pour recourir aux seuls éléments pris sur le vif ; ceux des documentaires et des actualités. Vertof s’oppose à Eisenstein. Le ciné œil désigne l’appareil de prise de vue cinématographique (caméra) ; ce que Vertov appelait l’œil mécanique. Cet œil mécanique déchiffre d’une manière nouvelle un monde qui nous est inconnu. La caméra serait cet outil qui permettrait d’accéder a la connaissance du monde. Vertof ne se dit pas cinéaste il se dit Kinok. Les kinoki entendent révolutionné la représentation, en « fustigeant » le cinéma de (…) pour saisir la vie a l’improviste. Vertov est un futuriste et en tant que futuriste, il rejoint l’idéologie des film de la Feks (l’équivalent soviétique du burlesque américain). On trouve a la tête de la feks deux personne Kozencheiv et robertz. En revanche tous sont réunis autour de la figure de proue : Le poète Maiakovski. Le futurisme est un mouvement littéraire et artistique qui rejette la tradition esthétique et exalte le monde moderne, en particulier la civilisation urbaine ; la machine, la vitesse. Le travail du ciné opérateur est de voir. Et le travail du cinéma-monteur qui va recomposer cette réalité. Dziga vertov: « Voir et montré le monde au nom de la révolution prolétarienne mondial. » Pour lui, le tournage réside en une fixation du processus historique, tandis que le montage opère un ciné-déchiffrement communiste du monde. Dans l’homme a la caméra on voit le ciné-opérateur filmé entrain de filmer ; ont vois que la caméra dans ce film est fétichisé par vertof (vertof croit en l’authenticité de la caméra, qu’il considere comme œil plus parfait que l’œil humain.).

1.Eisenstein

Eisenstein vient du théâtre ; dans ce lieu, il imagine le montage des attractions. Le mot attraction correspond pour le cinéaste a une sensation violente imposée pour le spectateur. Par la juxtaposition de saynètes semi autonome au style volontiers caricaturale et burlesque, comme des attraction de music-hall auquel le thème est inventé. L’idée de l’autonomie suggère une discontinuité filmique. Eisenstein transpose ce montage des attractions au cinéma (cf la grève, 1925). Pour trouver un équivalent du montage d’attraction ont peut évoque la fin d’Apocalypse Now (Coppola) -> juxtaposition de plan d’essence fictionnel et documentaire. A priori il n’y a aucun lien temporel entre les deux. L’idée est de dire qu’il y a une comparaison entre les deux essences. Eisenstein travaille a la suite de Grifitz mais refuse pour autant le montage narratif. Eisenstein travaille a sa suite sauf que Eisenstein refuse le montage narratif (alors que grifitz le pratiqué). Il refuse aussi la transparence filmique. La transparence est un système esthétique selon lequel le film donne a voir les éléments représentés, et non se donne à voir lui-même les éléments du film. Le fondement du cinéma classique, c’est le raccord. Le raccord a pour objectif d’effacer le changement de plan aux yeux du spectateur : Le monteur donc créer une continuité filmique qui favorise l’identification primaire et secondaire, et qui maintient le spectateur dans la fiction. Le raccord permet également de s’identifier à un personnage et de vivre l’histoire par procuration. Eisenstein lui substitue le conflit par le rapport. Le conflit constitue une collision entre deux images. Le changement de plan chez Eisenstein est pensé sur le mode du conflit, si bien que la typologie des raccords s’applique au conflit. Le changement de plan est donc marqué, ce qui renvoie le spectateur à sa place de spectateur « Le choc a un effet sur l’esprit d’une force à penser, et à penser le Tout. » Deleuz. Ca permet au spectateur non seulement de réfléchir au sens du changement de plan mais aussi on invite le spectateur à penser le film dans son ensemble. Eisenstein contrairement à Grifitz s’intéresse moins à la narration qu’au discours ; il pratique un cinéma discursif. Vertov– Eisenstein La mise en scène est le moyen pour Eisenstein de parvenir à ses fins, et donc sa visée principale est de donnée une certaine lecture du réel ; il interprète le réel et le revendique. Alors que Vertov ne fait que capter le réel. Par ailleurs, Eisenstein préfère le terme de « fragment » à celui de « plan ». Le fragment c’est une unité de discours et donc une unité de représentation. Cette notion de fragment vient renforcer l’opposition qu’il y a entre narration et discours. On comprend que par commodité ont est associé l’un a l’autre. LE CUIRASSEE POTENKIME, Eisenstein (1925) Pour ce film-là, Eisenstein lorgne sur le cinéma de Vertov. Il y déploie certaines des théories de Vertov. « Il refusa studio, maquillage, décors et presque acteurs … » Sadoul OCTOBRE, Eisenstein Octobre raconte les principaux épisodes politiques des années 1917, jusqu'à la prise de pouvoir des bolchéviques. C’est un film de « jubilés » sortie au 10e anniversaire de la révolution bolchevique. Le cinéaste inaugure le montage intellectuel, ou la pensée sensorielle. Montage intellectuelle : C’est un jeu d’association d’image qui doit conduire physiologiquement le spectateur vers ses idées ; Le film devient pratiquement une formule mathématique, l’image d’un œil plus l’image de l’eau vas signifié pleuré ; c’est une écriture programmatique, une pensée qui s’écrit par l’image. Ont peux voir dans le montage intellectuel un prolongement des recherche formelles et syntaxique d’Eisenstein.

IV - L’expressionnisme L’expressionnisme naît avec un film : le Cabinet du docteur Cagliari de Robert Wiene (1919) : C’est l’expression aboutie de l’expressionnisme. D’autre ont été des films précurseurs comme l’étudiant de Prague, Stella Raye. L’expressionnisme est une avant garde picturale, il y a également un expressionnisme musical (Schoenberg, Wberben). L’expressionnisme est un courant pluridisciplinaire ; il inonde tous les arts. On comprend que l’expressionnisme fait suite a l’impressionnisme d’une manière globale, cet expressionnisme apparaît dans un climat politique troublé : la société allemande a changé après la guerre, vaincue par les alliés, l’Allemagne vas emprunté les chemins du légendaire pour oublier ses cicatrices » Un courant lorsqu’il se constitue s’inscrit en faux, c’est donc une réaction a l’impressionnisme. L’expressionnisme lui se propose d’atteindre a la signification éternel des faits et des objets. L’esthétique expressionnisme se manifeste avec… C’est la déformation volontaire d’objets, l’usage très particulier des jeux d’ombres et de lumières : le clair obscur qui a été inventé par un homme de théâtre, Reinhardt, dramaturge allemand d’origine israélite qui vas sculpté ses décors avec l’éclairage. Ont cherche a détacher les ombres des personnage (dans le cinéma classique ont cherche a diminuer un maximum les ombres) c’est une manière de parler simplement de « double obscur », ont vois dans le cabinet du docteur caligari le docteur et son ombre : ça montre que le docteur est donc ambigu, schizo. Dans le « Nosferaltu » de ... le clair obscur est très exploité. L’expressionnisme tend vers un seul but, celui de dépasser le réel.

DECORS

Rapport au décor : On donne beaucoup d’importance au décor Messène : « L’arrière plan est au premier plan » (dans les films expressionniste) Ces décors sont perçu par le spectateur comme étant important. Ils sont attiré par certain lieux (corridor, escalier, etc.)

ACTEURS

Les acteurs adoptent une mimique saccadée, un maquillage parfois outrancier et des costumes stylisé a l’extrême. Les thèmes du cinéma expressionniste sont souvent inspirés par le fantastique, l’horreur. C’est donc peu dire que cela reflète l’angoisse de l’époque. De 1919 a 1924, les écran allemand vont voir défilé toute une série de monstre : Le Golem (1920) Nosferatu (1922), Murnau Le montreur d’ombres (1923), Arthur Robison Le cabinet des figures de cire (1924), Paul Leni

V – Le Surréalisme

Ado Kyrou qui est a la fois réalisateur et critique : « Le cinéma est d’essence surréaliste » Cela signifie que la nature même du cinéma le prédispose a l’exploration des zones obscur de l’inconscient, du rêve et de l’irrationnel. Le surréalisme (qui touche tous les arts) naît en 1919, date qui correspond au premier numéro de la littérature « trio de breton, Aragon et soupo ». Le surréalisme dérive du mouvement d’Ada qui est jugé trop ni-liste. La rupture a lieu en 1922 et breton vas écrire le premier manifeste du surréalisme en 1924. De breton défile les grand lignes d’un programme qui cultive l’écriture automatique, et la toute puissance du désire. L’écriture automatique est l’un des grand catalyseur surréaliste (une sorte de protocole qui permet de créer de manière surréaliste). Cette écriture automatique s’accompagne du cadavre exquis. C’est écrire un mot et le passé a son voisin afin de former une phrase. Le mouvement surréaliste vas réunir des poètes, des peintres (Dali, Hernz), des photographes et plus tard des cinéastes (Bunuel…) Dans le film surréaliste il y a une juxtaposition de scène qui se donne a voir comme autant d’image particulières. Le cinéaste se libère de l’obligation de raconté. Trois film répondent clairement au projet surréalistes : (La coquille, Un chien Andalou, L’age d’or) Ces films la ne s’inscrivent pas dans un contexte réalistes : Il s’agit d’explorer les zones obscur de l’inconscient. Ils ne relèvent pas non plus de l’abstraction. Il s’agit dans tous les cas de vision onirique qui répondent a l’écriture automatique chère au surréalisme

UN CHIEN ANDALOU

Luis Bunuel « Beau comme la rencontre d’un parapluie et d’une machine a coudre sur une table de dissection » Lautréamont -> Cette situation rassemble des objets hétéroclite a la manière d’un photo-collage. L’aspect hétérogène d’un chien andalou est d’un aspect primitif a cause de l’effet de « rêve » La temporalité relève très clairement du gag, c’est donc une série de gag burlesques. Ont peux voir aussi une allégorie selon laquelle l’amour et la sexualité sont entravés par les préjugés religieux. Ont sens bien malgré tout que l’interprétation n’as pas été intentionnel de la pars de dali et bunuel, en outre le spectateur n’as pas le monopole de la lecture du film. Le film fonctionne par l’association d’idée, il y a donc quand même un fil conducteur au film et une séance onirique relative au rêve qui évacue la brutalité au profit d’une hiératique pulsionnel. Ces visions servent un propos poétique qui cherche a unir le rêve et la réalité, le conscient et l’inconscient en dehors de toute symbolique Le surréalisme serait une « Poétique de l’imaginaire »

VI – Réalisme poétique

C’est un courant du cinéma français qui apparaît au début des années 30 et prend fin avant la fin de la 2eme guerre mondial (même si il y a des réminiscences au lendemain de la guerre). Le metteur en scène le plus significatif de cette époque est Marcel Carné. Le collage de deux notions qui s’opposent Le pro-alisme et le réalisme viennent contredire le lyrisme de poétique. On s'aperçoit que le réalisme politique exprime bien la formule, un mode de représentation qui emprunte des éléments de la réalité pour s’en éloigné délibérément. Marc Orlan est l’inspirateur littéraire du courant ; il préfère la de la critique français. C’est Michel goron qui l’applique pour la première fois au cinéma en rédigeant un article sur un film de Pierre Chenal « la rue sans nom ». il dit : J’ai dit réalisme, mais j’ai dit aussi poétique. Car même en traitant ce sujet brute et total, Pierre Chenal ne renonce pas a la poésie. Le réalisme poétique se trouve au carrefour de plusieurs influence : les influences littéraire comme le naturalisme (c’est une théorie qui vise a dépeindre la nature et ses réalités sans les rêver ou les interprété. Le naturalisme se fonde sur le déterminisme social), puis le populisme (un courant littéraire qui s’attache a la représentation des petites gens) et des influences cinématographique. Kannrrspeilefilm qui signifie le spectacle, le drame ou le jeu de chambre. C’est un courant naturaliste au cinéma qui émerge en Allemagne au années 20. Ce courant naturaliste prend sa source dans les derniers pièces du dramaturge Auguste Sdridbeng. L'esthétique du courant réaliste poétique est très original. Les tenants de ce courant se réfugient dans les studios, c’est dans les studios qu’ils construisent un univers subjectif s’apparentant a la réalité mais n’en constituant qu’une illusion. Le studio offre des solutions totalement intéressantes comme la lumière et le son. Ont constate que la lumière du film réaliste poétique découle de l’éclairage expressionnisme. Curt Courant qui a travaillé sur le jour se lève est un chef opérateur qui travaille la lumière en clair/obscur, il a fui l’Allemagne nazi avant la guerre et a participé au genre de réalisme poétique. Hôtel du nord Le jour se lève Quai des brumes

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