L’homme peut-il vivre sans croire ?

Résumé de l’article: L’homme peut-il vivre sans croire?

Avant de faire un résumé de l’article étudié: L’homme peut-il vivre sans croire?, je vais vous faire une petite présentation de l’auteur. Anne Emmanuelle Monnier est professeur de philosophie au lycée et a écrit un livre nommé « Philosophie : Les grandes questions » et plusieurs article dont celui que nous allons présenter aujourd’hui.

Dans cet article, Anne Emmanuelle Monnier nous dit que la croyance se définit généralement comme une attitude consistant à adhérer à une idée, une pensée, une affirmation ou une théorie. Par exemple, nous pouvons croire que les fantômes existent ou que l’être humain est perfectible. La croyance recouvre donc un champ très large de domaines mais relève d’une adhésion plus ou moins hasardeuse. Dans tous les cas, nous n’avons pas la preuve de ce que nous avançons.

L’article définit la croyance comme une absence de connaissance véritable, c’est-à-dire rationnellement fondée. Voilà pourquoi il est commun d’opposer la croyance au savoir, et d’identifier la croyance à une certitude facile, à une « vérité » apaisante qui ne résiste pas à une enquête approfondie. En croyant, l’homme renoncerait ainsi à sa liberté de questionner, d’interroger, il préférerait le confort des réponses préfabriquées, le côté rassurant du « prêt-à-penser » qui laisse la raison en repos. Cesser de croire serait une question de volonté et de courage, celui d’affronter la réalité telle qu’elle est pour cesser de l’imaginer telle que nous la désirons. Mais l’homme en est-il capable ?

Anne nous dit aussi que la croyance semble définir l’humain, nos pensées sont en effet majoritairement constituées d’idées que nous ne pourrions justifier rationnellement. L’hypothèse que le besoin de croire est inhérent à la nature humaine est tout à fait légitime car on peut constater que l’avancement scientifique n’a pas abouti à la disparition de la croyance et que toute société est pourvu de croyances et de rituels religieux.

Comparaison avec notre opinion:

Julien et moi sommes d’accord avec ce que Anne avance, nous pensons aussi que quand nous croyons nous nous attachons à cette idée. Cela nous donne aussi de l’espoir et de la force pour atteindre notre objectif. Par exemple, si on ne croit pas en notre réussite, on n'aura pas la même motivation que si on y croyait. Nous avons aussi pensé à l’idée que la croyance définit l’être humain car, comme elle nous le dit, la plupart de nos pensées ne sont pas justifiables rationnellement. Julien et moi somment aussi d’accord avec le fait que l’avancement scientifique n’a pas totalement fait disparaître la croyance chez les êtres humains et donc que le besoin de croire est inhérent à la nature humaine.

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