Les québécois trouvent souvent des difficultés à encadrer les enfants.

Les québécois trouvent souvent des difficultés à encadrer les enfants. Il leur arrive souvent d’avoir recours à la télévision. Madame Lynda Pagani, professeure à l’Université de Montréal et chercheuse à l’hôpital Sainte-Justine, s’est intéressée à la consommation excessive de la télévision. Lors de cette interview, elle nous livre les résultats de sa recherche. Dans le texte qui suit, je donnerai deux idées principales : d’une part, un constat sur la relation entre la télévision et l’enfant, et d’autre part, les effets négatifs de la télévision sur la scolarité des enfants. Je les commenterai au fur et à mesure.

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Premièrement, Mme Pagani constate que la consommation excessive de la télévision est nocive pour les enfants. La professeure nous livre une information : les enfants de moins de deux ans ne doivent pas être devant l’écran de télévision contrairement à ceux de plus de deux ans. Mieux encore, elle nous fait savoir que les enfants de plus de deux ans ne doivent pas s’exposer à l’écran indéfiniment, une limite de neuf heures par semaine est à respecter.

Effectivement, ce que la professeure nous recommande est pertinent. Il faut éloigner nos enfants des écrans. Quatorze heures d’exposition par semaine pour les enfants de plus de deux ans est à revoir à la baisse.

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Deuxièmement, Mme Pagani expose les effets négatifs de la télévision sur les enfants. Les conséquences sur la scolarité sont importantes. Elle considère la télévision comme une activité passive. De plus, la télévision a des effets néfastes sur l’activité intellectuelle de l’enfant. Une heure de télévision consommée plus que la norme recommandée cause une diminution de l’engagement de l’enfant en classe et une baisse de 6% de réussite en mathématiques.

À mon avis, les informations livrées par la professeure sont d’une importance capitale. L’évolution normale du cerveau de l’enfant est retardée, et une baisse de niveau scolaire en découlera forcément.

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En conclusion, les résultats obtenus par Mme Pagani permettent une prise de conscience des parents et une compréhension des effets négatifs de la télévision sur le parcours solaire de leurs enfants. Toutefois, il serait, peut-être, intéressant d’approfondir la recherche sur les effets négatifs de la télévision concernant les relations sociales de l’enfant qui sont abordés furtivement dans l’interview.

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