Les Objets

Synthèse

En quoi le mode de fabrication des objets influent-ils sur sa valeur ?

Tout d’abord il existe toutes sortent d’objet autour de nous, que nous fabriquons de manière artisanale ou industriel. Ces objets ont ensuite une valeur selon leur mode de fabrication.

Mais en quoi le mode de fabrication des objets influent-ils sur sa valeur ?

Dans une première partie nous étudierons les différents moyens de fabrications d’un objet pour ensuite parler de la place et le rôle de l’homme dans la fabrication artisanale et industrielle.

Alessandro Zinna analyse dans son article de presse paru en 2005 sous le nom de « L’objet et ses interfaces » la reproduction des objets qui dépend du mode de production. En effet il y a l’objet unique, fait main, l’objet industriel qui est toujours reproduit à l’identique comme par exemple pour les «Playmobile » qui sont confectionner à la chaine. Prenons comme exemple l’œuvre d’art ; cette dernière met en avant la valeur de son unicité. Tandis que l’objet industriel perd de sa valeur car il y a une reproductibilité. Dans ces deux modes de production nous pouvons apercevoir entre les deux le design. Celui-ci désigne la tentative de réintroduire des effets esthétiques et de singularité comme le définit l’auteur. C’est le produit de l’assemblage des parties qui sont hétérogènes par rapport à leur mode de production.

En ce qui concerne la gravure de Maximilian Schäfer de 1910, celle-ci illustre l’homme, Robinson Crusoë essayant de fabriquer de ses mains une chaise. Cette gravure illustre parfaitement bien l’homme sui qui, pour survivre, doit construire une chaise avec les moyens qu’il a sur place. Cette chaise est un objet unique car l’artisan, Robinson, construit la chaise sans outils, sans notice. (Homme préhistorique).

De la même manière que l’objet unique rime avec objet artistique, l’œuvre d’art. Pour Benjamin Walter l’objet d’art est caractérisé par son aura. L’auteur nous explique que nous la masse nous aimons rendre les choses plus accessibles, plus proches de nous de manière à priver tout objet de son unicité (production industrielle), détruire son aura. Si nous prenions l’exemple de l’œuvre de la statut antique de Vénus ; les masses ont eues pour habitude de la vénérer ce qui en a donc fait un objet culte. Or, si cette œuvre est reproduite, le culte disparaît. L’œuvre d’art est unique mais reproduite elle perd son aura.

Emile Zola lui, raconte dans son roman la fabrication de boulons. Il explique avec énormément de détail le travail du personnage Gueule d’Or. Il nous parle du mal qu’il a à travailler la matière, comme par exemple quand il dit « respirant à chaque coup, ayant seulement à ses tempes, deux grosses gouttes de sueurs qui coulaient ». Cela nous prouve que malgré tout son travail il n’aura jamais l’efficacité et la force d’une machine.

Concernant la place et le rôle de l’homme il est important de constater que sur la gravure, Robinson fabrique lui-même l’objet du début à la fin. Il n’a pas vraiment le choix car il doit survivre avec ce qu’il trouve sur l’île.

Concernant l’article de presse sur « L’objet et ses interfaces » publié en 2005, Alessandro Zinna

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