La question des témoins et leur témoignage

La question des témoins et de leur témoignage est le thème principal abordé par les trois documents qui composent ce corpus. En effet le roman du XX ème siècle d’Albert CAMUS datant de 1942 l’étranger, indique le procès de Meursault du a un assassinat ; Georges SIMENON dans un récit épistolaire Lettre à mon juge datant de 1947 montre que chaque personnage joue un rôle dans le procès ; Dominique VERNIER et Maurice PEYROT co-auteurs dans le texte explicatif La cour d’assise datant de 1989 évoque la fragilité humaine à témoigner devant la barre au tribunal. Tous ces documents convergent vers une même question : quelles sont les conséquences d’un témoignage dans un procès. Tout d’abord nous évoquerons les différentes difficultés que pose un témoignage ensuite les conséquences désastreuses d’un témoignage.

Quelles sont les différentes difficultés que pose un témoignage durant un procès. Le témoignage d’un humain reste très dur à entendre ou bien à prononcer. Comme le dit le texte la cour d’assises les faits sont la plus part du temps assez ancien et enfouie alors que la mémoire peut des fois faire faux bon quand cela remonte à quelque année. Par contre pour les policiers ceci n’ait pas un souci car ils ont toujours leurs procès-verbaux rédigés. Donc le président remarque que bien souvent que les témoins ne se rappel plus trop ce qu’il avait dit au moment du constat donc le président est obligé de prononcer mot pour mot ce qu’il avait témoigné le jour du procès-verbal cela aide les témoin a les diriger sur leur déposition pour qu’il puisse sent souvenir. Ensuite les témoins se rappel de leurs souvenir en fonction des types de question posé par différente personne donc le constat est que bien souvent les témoins évoque d’autre chose à la barre. Les policiers judiciaires ont un peu des phrases types pour rédiger leurs procès-verbaux donc quelque fois ça change l’histoire. Ou bien encore les témoins qui ont vu que une partie des faits s’invente une scène qui n’ont pas vu et qu’ils veulent défendre alors que on final ils n’ont aucun argument pour y défendre. Le stress des lieux peut jouer sur leur élocution. Dans le texte d’Albert CAMUS ou il parle du procès de MERSAULT il dit que le procureur déforme le témoignage. Marie la fiancé évoque qu’il le forçait à dire le contraire qu’il voulait témoigner au moment des fait. Le texte Lettre à mon juge réinstaure aussi que le personnage insiste sur la dimension théâtrale d’un procès où chaque personnage joue un rôle. Certain témoignage sont inutile ou que les jurés pense inutile comme on peut le voir dans les deux premiers textes.

Il y a aussi des conséquences désastreuses d’un témoignage. Il y a plusieurs témoignages à décharge à un témoignage à charge dans le premier document on constate que MARSAULT est un témoignage à décharge en ne respectant pas le deuil ou bien encore dans le document deux ou le témoin est à charge malgré elle. Comme l’évoque le texte de VERNIER et PEYROT la nervosité des témoins ce fait avec le stress des lieux de l’audience le monde et les pressions exercé sur le témoin à la barre qui peuvent provoquer des évanouissements ou un blocage total à répondre à la question. L’erreur d’interprétation fait partie du tribunal comme le montre le premier document

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