La maison dans les bois

La maison dans les bois

J’ai ressenti la peur le 15 décembre 1810 ceci se passait l’hiver dernier, par une nuit sombre et lugubre comme toutes les nuits d’hiver. Je venais d’emménager dans le manoir lugubre de ma grande tante, à cause du décès de mes parents. Je n’éprouvais aucune affection envers elle, c’était une femme froide aux traits de visage sévères et aux cheveux poivre et sel. Quand j’arrivai, nous échangeâmes un rapide regard cependant mon éducation que m’avait apportés mes parents m’obligea à la saluer. A peine arrivée elle me prévenu :

« Mathilde, je t’ordonne de ne t’aventurer dans les bois sous aucun prétexte. »

Obéissante, j’acquiesçai sans poser de questions. Elle me dirigea a l’étage vers ma chambre qui se trouvé au grenier. Je décidai de ranger mes affaires, quand je m’aperçus de la présence d’un album situe dans l’étagère du placard. Je feuilletai ce dernier dont les photos possédaient un dépôt de cendre et une forte odeur de bruler. Sur une grande partie des photos, ma tante et une autre femme plus vieille, dont la ressemblance était flagrante y siégées. Je fus interrompis par la voix sèche de ma tante qui m’annonça le souper. Quand celui-ci fut terminé j’allai me coucher âpres une dure journée.

Vers minuit, j’entendis retentir trois coups succinct qui paraissais provenir du grenier. Je ne sais comment, ni pourquoi quelque chose de plus fort que moi m’emmena devant le bois. Ma curiosité me poussa malgré, l’interdiction que l’on m’avait donnée, a m’aventuré dedans. Après m’être bien éloigné du manoir, je tombai face à une maisonnette. Je m’avançai jusqu'à la fenêtre dans l’espoir d’apercevoir une présence. Je toquai alors à la porte. Pas de réponse, alors je réessayai en succédant trois coup succinct comme je l’avais entendu au grenier. La porte s’ouvrit.

A ce moment je sentis la peur montée en moi quand mes poils se hérissèrent. Tout à coup, j’aperçu une vieille dame que je confondis avec ma tante. Quand je reconnu la femme des photos que j’avait vu précédemment. Elle me proposa d’entrer et m’interrogea :

« Jeune fille, que fais-tu ici a cette heure si tardive ? »

Dit-elle un sourire au coin des lèvres.

Quelque chose me perturbai à ces pieds flotté une fine fumée blanchâtre.

Quand elle renchérit :

« Prend donc une part de gâteau et installe toi au coin du feu pour te réchauffer, tu as l’air frigorifiée. »

J’exécutai ces paroles, méfiante malgré tous.

Elle engagea le dialogue :

« Ton visage me parait très singulier, tu me rappelle ma fille Marie. Mais d’où viens-tu ?

- Je viens du manoir situé rue du joli bois.

- Cela est impossible, il a été incendié en 1780 et depuis il n’a pas été rénové

- C’est vrai ? Pourtant je vous assure, j’habite chez ma tante Marie »

Soudain, son visage devint blême et se décomposa. Les cloches

...