LaDissertation.com - Dissertations, fiches de lectures, exemples du BAC
Recherche

La maison d'Amilty ville

Discours : La maison d'Amilty ville. Recherche parmi 298 000+ dissertations

Par   •  9 Octobre 2019  •  Discours  •  765 Mots (4 Pages)  •  388 Vues

Page 1 sur 4

Amityville, la maison du Diable

        De nombreux livres et films (comme « The Conjuring ») racontent l'histoire que cache une des maisons de ce petit quartier, demeure qui se fait maintenant appeler « la maison du Diable ». Je vais quant à moi vous conter comment ce banal bâtiment est devenu la plus célèbre des maisons hantées, lieu où de macabres phénomènes ont pris place.

        Nous sommes dans le quartier d'Amityville à Long Island, au 112 Océan Avenue, le 13 novembre 1974. La famille DeFeo avait alors aménagé depuis peu dans cette maison et s'y sentait très bien. C'était une famille normale, si ce n'est qu'elle était plutôt grande étant donné que les parents Ronald senior et Louise avaient cinq enfants : Ronald junior, Dawn, Allison, Mark et John. Comme dans beaucoup de familles, des disputes éclataient de temps en temps entre le père et Ronald junior, disputes qui n'étaient pas inconnues du reste de la famille DeFeo (la veille du 13 novembre, le garçon aurait quitté un débat agité avec son père la lèvre en sang).

Il est 3h du matin, Ronald junior éteint la télé mais ne va pas se coucher. Avec son 35mm en main, il assassine son père puis sa mère avec deux balles chacun, puis ses frères et sœurs à bout portant d'une balle chacun. Les coups de feu n’auraient pas alerté la famille qui avait l’habitude d’entendre Ronald junior regarder des films d’actions jusqu’à tard le soir. Ils se sentaient sûrement en sécurité puisqu’ils étaient chez eux, dans leur lit, et que rien ne semblait pouvoir leur arriver.

Le lendemain, 18h30, un des bars de la ville fut secoué par les cris du jeune meurtrier : selon lui sa famille avait été assassinée, il se précipita alors vers sa maison suivit par 6 hommes qui voulaient l’aider. Ils arrivèrent alors dans une maison calme où pesait une lourde ambiance, l’odeur de la mort envahissant leurs narines au fur et à mesure que le petit groupe se rapprochait de l’étage. La tension était palpable jusqu’au moment où ils ouvrirent la porte de la chambre des parents DeFeo et qu’ils comprirent qu’un massacre c’était réellement produit. Les corps gisant sur le sol du pauvre couple et les cadavres des enfants offraient un spectacle des plus terrifiant.

Ronald junior a alors donné différentes version de la tragique nuit. Selon lui il était aidé d’amis et de sa grande sœur pour réaliser le massacre, il n’aurait pas touché aux enfants et ne serait donc pas l’entier responsable. Pourtant il affirma plus tard avoir entendu des voix qui lui ordonnaient de tuer, une voix divine selon l’intéressé. L’affaire fut plus tard classée comme simple folie meurtrière, laissant cette version paranormale de l’histoire de coté.

Ce n’est qu’après qu’une nouvelle famille emménage dans la dites « maison du Diable », que d’autres phénomènes paranormaux se déclenchèrent. La famille Lutz venait donc de s’installer et avait demandé à un prêtre de bénir la maison (ce qui se faisait à l’époque). Seulement le prêtre se serait enfui après avoir entendu une voix qui disait : « Allez-vous en ». Ce n’est pas tout, les Lutz auraient remarqué des tâches noirs qui se formaient dans la maison ainsi que de brusques changements de températures, et le nouvel ami imaginaire qui « resterait pour toujours dans la maison » de la fille cadette n’arrangeait pas les choses… Il y a eu bon nombres d’autres activités surnaturelles comme celles-ci qui ont été rapportées par la famille, mais la dernière fut celle qui les éloigna définitivement de la maison maudite. Début janvier 1976, en plaine nuit, le père Lutz a besoin de se rafraîchir et veut donc prévenir sa femme qui dort à ses côtés. Il se tourne, ne l’aperçoit pas dans la pénombre, ses yeux commencent à s'habituer mais sa femme n'est pas couchée, pourtant elle est bien là, lévitant sous le regard ahurit de son mari. Scène inimaginable pour le pauvre homme qui essaye de l'agripper mais la lâche tout de suite: son visage avait prit les traits hideux d'une vieille femme ridée. C'est ainsi qu'après 28 jours, ils quittèrent la demeure paniqués, et en pleine nuit.

...

Télécharger au format  txt (4.6 Kb)   pdf (90.2 Kb)   docx (8.7 Kb)  
Voir 3 pages de plus »
Uniquement disponible sur LaDissertation.com