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L'oisiveté

Étude de cas : L'oisiveté. Recherche parmi 298 000+ dissertations

Par   •  21 Janvier 2019  •  Étude de cas  •  366 Mots (2 Pages)  •  406 Vues

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On a l'habitude de dire que l'oisiveté est la mère de tous les maux.(=C’est la faute de la flemme si y’a des soucis dans le monde). On recommande le travail pour empêcher le mal. Mais aussi bien la cause redoutée que le moyen recommandé vous convaincront facilement que toute cette réflexion est d'origine plébéienne(=faux).
L'oisiveté, en tant qu'oisiveté, n'est nullement la mère de tous les maux(=> Affirme sa thèse), au contraire(=Dit qu’en réalité, c’est l’opposé, l’inverse de ce que va nous dire l’adage), c'est une vie vraiment divine lorsqu'elle ne s'accompagne pas d'ennui(=Thèse : L’oisiveté, c’est bien, sauf si ennuie). Elle peut faire, il est vrai, qu'on perde sa fortune, etc.(= Nuance son propos) ; toutefois, une nature patricienne (2) ne craint pas ces choses, mais bien de s'ennuyer(=L’oisiveté n’est pas le réel soucis de la soiciété aristocratique, mais c’est plutôt l’ennuie). Les dieux de l'Olympe ne s'ennuyaient pas, ils vivaient heureux en une oisiveté heureuse. Une beauté féminine qui ne coud pas, ne file pas, ne repasse pas, ne lit pas et ne fait pas de musique est heureuse dans son oisiveté ; car elle ne s'ennuie pas. L'oisiveté donc, loin d'être la mère du mal, est plutôt le vrai bien. L'ennui est la mère de tous les vices(=remanie l’adage, le corrige), c'est lui qui doit être tenu à l'écart. L'oisiveté n'est pas le mal et on peut dire que quiconque ne le sent pas prouve, par cela même, qu'il ne s'est pas élevé jusqu'aux humanités. Il existe une activité intarissable qui exclut l'homme du monde spirituel et le met au rang des animaux qui, instinctivement, doivent toujours être en mouvement(=L’homme doit toujours s’occuper, combattre l’ennuie). Il y a des gens qui possèdent le don extraordinaire de transformer tout en affaire, dont toute la vie est affaire, qui tombent amoureux et se marient, écoutent une facétie et admirent un tour d'adresse, et tout avec le même zèle affairé qu'ils portent à leur travail de bureau= (à force de vouloir travailler, on tomve dans une routine, dans un cycle répétitif ou tout est pareil, rien ne change, quelle que soit l’action commise. )

 THESE :
L’oisiveté n’est pas le soucis, c’est même bien
L’ennuie est le réel soucis

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