Etude de cas: ACOMAR

TACHES ACCOMPLIS 14/12/2016 JOUR 1

• Faire une synthèse sur le rôle de l’agence de consignation.
• Remplir le connaissement bill of loading grâce au logiciel CargoWise ONE
• Dépôt de séquence à l’armateur et au OPDR (on leur fait une demande de booking)

Lors d’une opération à l’export :  le client doit contacter ACOMAR pour faire une demande de cotation. Il envoie une demande de révélation. (Cette règle s’applique pour les clients occasionnels)

ACOMAR se charge de trouver le meilleur transport.  C’est grâce au booking que l’armateur peut suivre l’opération.

Une fois que le client reçoit les informations il prend le bon de réception il prend en même temps le plomb chaque plomb a un numéro. Il n’est utilisable qu’une seule fois (c’est la clef qui sert à ouvrir le conteneur). Puis il fait cacher le bon de réception par la douane.

Les informations contenues dans le connaissement sont :

• Le nom du SHIPPER
• Le nom du consignataire
• La NOTIFY PARTY
• Le nom du navire
• Le numéro du voyage
• Le port de chargement/ déchargement/ transbordement.

TACHES ACCOMPLIS 15/12/2016 JOUR 2

• Voir si certains clients sont « flagués », c’est-à-dire de savoir s’ils sont bien inscrits dans le service financier de l’entreprise > Attribuer un flag permet de déterminer le résultat d’une opération à quelque chose dans le domaine de la programmation informatique.
• Le second stagiaire, m’a expliqué son projet professionnel qui est de lancer une start-up spécialisé dans la bourse de fret « HelloFret.com/web ». L’idée est « d’Ubériser » le freight Fowarder avec les armateurs. La particularité de cette start-up est que l’armateur et/ou le particulier pourront trouver un transporteur au meilleur prix, plus simplement, et plus rapidement. De plus, tous les consignateurs/ transitaires sont mis au même piédestal. Le client n’aura qu’à se fié à la réputation de l’entreprise noté avec un système d’étoile, par d’autres client. Et les transitaires/consignataire pourront à leur tour noter les clients avec le même système. Néanmoins ce qui peut être une faiblesse soit que finalement les grandes entreprises sont mises au même pied d’égalité que certaines petites entreprises.

La deuxième faiblesse de ce projet, et qu’en évaluant le marché marocain, mon collègue Marcus, m’explique, que le monde de la start-up n’est absolument pas assez développé ici au Maroc. En effet, on sait tous que l’arme première d’une start-up et la prospection par voie numérique. Et le monde numérique est développé mais pas assez pour se faire connaître ou créer un buzz au Maroc.

• J’ai interviewée Amine qui s’occupe du service commercial, en effet, son rôle est de régler des litiges, et des problèmes à régler entre armateur et transporteur, il s’occupe souvent des négociations des tarifs. Il joue aussi un rôle d’assistant Import/Export puisqu’il s’occupe d’accusé réception, et de confirmation par mail pour les clients.  Amine gère des commandes du monde entier (Shangai, Italie, Espagne, France, USA etc.)

Il est issu d’un Master spécialisation logistique. Le seul point positif qu’il retient de son travaille et sa liberté d’en apprendre tous les jours, c’est pour lui une valeur qui n’a pas de prix. Néanmoins, il m’explique plusieurs points négatifs, notamment celui du stress, c’est un des points important à savoir dans ce domaine « on ne s’en rend pas compte mais on peut y perdre sa santé ».

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