DIVERSITE DES AGRICULTURES : l’agriculture de demain

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DIVERSITE DES AGRICULTURES : l’agriculture de demain

Introduction : Le système agraire « motorisé et chimisé » ne répond plus aux enjeux alimentaires, environnementaux et climatiques de la France. De plus la consommation alimentaire évolue. Elles donnent naissances a des nouvelles habitudes : moins de viande, produit de meilleure qualité, …

1. L’évolution des moyens de production

1. Agriculture numérique

L’agriculture va petit à petit se robotiser. A l’heure actuelle la robotisation est déjà au cœur du métier cependant à l’avenir cette pratique du numérique va se développer. Cela permettra de réduire la pénibilité du travail. Par exemple avec des tracteurs autonomes, les professionnels auront moins de problèmes de dos. Le temps pourra également être optimiser. Le temps de perdu à être dans le tracteur pourra être utiliser pour d’autres activités. Le numérique pourra également aider à améliorer le rendement car il permettra de contrôler les besoins des cultures et des animaux. L’agriculture de précision sera plus développée avec de nouvelles techniques innovantes. Par exemple pour contrôler les besoins en eau ou en azote des plantes. Il y aura donc une baisse des dépenses au niveau des apports.

1. Evolution bâtiment

A l’avenir les bâtiments vont s’agrandir pour permettre à l’agriculteur de plus stocker sa récolte. De plus, il y aura un bâtiment pour la transformation ou la vente pour valoriser ses produits. Pour rentabiliser ses bâtiments des panneaux solaires pourront être installer sur la toiture.

1. Autonomie énergétique

L’autonomie en agriculture permet de se détacher des coopératives et du circuits courant. Cela fait une autre entrée d’argent si jamais l’année n’a pas était productive il y aura une entrée d’argent dites « sûre ». Pour l’autonomie énergétique, il y a la méthanisation cela permet de produire son gaz. Sauf incident cette production permet d’assurer des revenus complémentaires aux agriculteurs.  

1. Salariés

La charge salariale va diminuer dans le travail a la ferme à cause de l’informatisation du métier cependant les ateliers de diversifications chercheront certainement à embaucher pour faire de la vente directe ou de la transformation.

1. Modes de productions

L’extensif sera plus développé pour les cultures ainsi que pour les élevages avec par exemple plus de liberté pour le bétail. Les animaux pourront circuler entre le bâtiment et l’extérieure quand ils le souhaiteront.  

1. L’évolution des pratiques d’élevage

1. Changements des consommations

Depuis quelques années, en France, le régime alimentaire des français change. Du flexitarien, au végan, en passant par le végétarien, la consommation de viandes diminue, notamment à cause des polémiques sur le bien-être animal en élevage et en abattoir, beaucoup de personnes tente alors de consommé moins de viande mais de meilleure qualité et local, pour s’assurer du confort des animaux.

Il privilégie des produits, transformer à la ferme, parfois même issu de l’agriculture biologique, qu’ils achètent à la ferme ou dans les marchés locaux.

1. Amélioration de l’aquaculture

Suite à la baisse de la demande en viande des consommateurs, nous pouvons supposer que celle du poisson devrais augmenter.

Aujourd’hui, nous sommes confrontés à une crise des ressources halieutiques à cause de la surpêche, en effets, la capture d’espèces non visée représente un quart des captures mondiales. La surpêche a également un impact sur les récifs de coraux, les petits poissons herbivores les désertant, les algues finissent par prendre le dessus sur les coraux.

Une des méthodes envisageables pour limiter cet impact est l’aquaculture extensive, cela consiste à avoir un impact très limiter sur les conditions de vie des poissons et donc sur l’environnement.

1. Nouveaux modes de conduite

Dans ce nouveau système agraire, où la santé animale est privilégiée, nous pouvons imaginer de nouvelle ferme plus grande, où le cheptel serait le plus autonome possible.

Le bâtiment principal, serais ouvert en journée sur les prairies ce qui permettra aux animaux de pouvoir se déplacer comme ils le souhaitent entre l’intérieur et l’extérieur. La nuit, nous pouvons imaginer un extérieur plus petit et stabiliser, sous vidéo surveillance pour la sécurité des animaux, tout en leur laissant une liberté de mouvement assez importante, la surveillance vidéo permettrais également aux agriculteurs de prouver les bonnes conditions d’élevage de leurs animaux.

L’accès au fourrage se ferais en illimité en favorisant l’herbe des prairies mais en complémentant aux besoins par du foins, (enrubanné, ect …). La distribution des concentrés ne sera plus assurée par l’agriculteur mais par des automates, cela aiderait à individualiser les rations et à se dégager du temps.

1. L’industrialisation de l’agriculture

Une autre évolution possible est l’industrialisation des fermes comme notamment la ferme des 1 000 vaches. Ce type de ferme concentre majoritairement leur activité sur leur production de base, le lait, la viandes, les œufs dans l’objectif de produire le plus possible. Très souvent, l’alimentation est achetée à l’extérieure car le nombre d’animaux est trop élevé pour envisager de la produire sur l’exploitation.

Une des perspectives, pour ces fermes est la méthanisation, car cela permettrait la valorisation du lisier et du fumier, que l’on retrouve en grande quantité et donc la diminution des déchets organiques.

1. Prairies et alimentation

Les espaces difficilement cultivables ayant un rendement plus faible qu’elle ne devrait, seront revaloriser une prairie tournante car cela enrichira le sol en matière organique, elle aide à diminuer le risque de battance et la circulation de l’eau augmente, les prairies tournantes vont également permettre à la vie biologique de se redévelopper dans le sol ainsi qu’a augmenter sa teneur en azote. Par la suite, il pourra être envisageable de recultiver ces prairies.  

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