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Culture organisationnelle avec l'approche Hofstede

Dissertation : Culture organisationnelle avec l'approche Hofstede. Recherche parmi 298 000+ dissertations

Par   •  10 Avril 2022  •  Dissertation  •  1 927 Mots (8 Pages)  •  694 Vues

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Culture organisationnelle

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Feuille d’identité

  Travail noté 1

EXERCICE DE COMPRÉHENSION D’UNE CULTURE ORGANISATIONNELLE AVEC L’APPROCHE DE HOFSTEDE (10 %)

Table des matières

Introduction        3

Développement        4

La distance hiérarchique        4

L’individualisme        4

La masculinité        5

L’évitement de l’incertitude        5

L’orientation temporelle à long terme        6

L’indulgence        6

Dimension prédominante        7

Conclusion        8

Bibliographie        9


Introduction

Dans le cadre du cours Culture organisationnelle, notre première réalisation est le travail noté 1. L’étude de nos premiers modules, a été très informatif pour me permettre une meilleure compréhension et d’acquérir une bonne définition de la culture organisationnelle :

« […] l’homme est un animal pris dans les réseaux de signifiance qu’il a lui-même tissés, je considère la culture comme assimilable à une toile d’araignée, et par suite son analyse comme relevant non d’une science expérimentale en quête de loi mais d’une science interprétative en quête de sens (Geertz, 1998, p. 2)[1]. »

En bref, la culture organisationnelle est significative dans les organisations, car elle a un impact direct sur les profits de l’organisation, en raison de l’importance de son influence sur la motivation des employés. Maintenant qu’il m’a été possible de bien comprendre l’importance de la culture au sein des organisations, je vais prendre quelques instants pour expliquer la théorie de Hofstede qui sera importante dans la réalisation de ce travail. Effectivement, dans la partie développement de ce travail, je vais intégrer les notions de la théorie de Hofstede, grâce à l’extrait du texte suivant : Cinq expatriés qui se sont lancés en affaires saluent la culture entrepreneuriale du Québec de Mathhieu Charest[2]. Selon la théorie de Hofstede, il y a six dimensions qui sont en mesure des différences entre le monde du travail dans les différents pays, soit : la distance hiérarchique, de l’individualisme, de la masculinité, de l’évitement de l’incertitude, de l’orientation à long terme et de l’indulgence.

Développement

La dimension que représente la distance hiérarchique se définit comme suit : l’attachement aux statuts sociaux, comme le respect des supérieurs est des ainés[3]. Grâce à notre article, j’ai été en mesure d’identifier des extraits significatifs pour cette dimension. L’auteur Marie-Gabrielle Ayoub est originaire de France, décrit dans son extrait sa vision du monde en fonction des différences avec ses nations. Notamment, une différence qu’elle est en mesure de noter est la suivante : « Sur le plan professionnel, cependant, elle trouve que la hiérarchie est beaucoup moins présente qu’en France [4]». Un second extrait intéressant et celui de l’auteur Renaud Margairaz, qui affirment sa surprise de voir que certains professeurs sont à l’aise de tutoyer leurs étudiants. Voici l’extrait qui confirme mes propos : « D’abord, j’étais très surpris que mon prof se mette à me tutoyer, et puis la culture entrepreneuriale m’a épaté[5]. »

Une seconde dimension de la théorie de Hofstede est celle de l’individualisme. L’individualisme, en fonction de nos notes de cours se définit comme suit : la priorisation des besoins individuels par rapport à ceux du collectif, comme la progression de carrière, le bienêtre au travail ou le besoin de tâches adaptées aux préférences[6]. Mme Ayoub, affirme les propos suivants : « Cela posé, elle reconnait qu’il est plus difficile de se faire des amis québécois, car il est très complexe de tisser des liens serrés. Pour s’intégrer, pas de recette miracle [7]». Ensuite, M. Margairaz, appuie les propos de Mme Ayoub, grâce à l’extrait suivant : autre « choc culturel », les relations interpersonnelles. « Les gens sont très faciles d’accès ici, dit-il, ils t’accueillent les bras ouverts, mais ça prend dix ans avant qu’ils ne les referment. C’est très difficile de te faire de vrais amis[8]. »

La dimension de la masculinité est une des dimensions qui a été le plus controversée en raison de son titre, car elle est confondue avec l’idée formalisée que l’auteur favorise un genre vis-à-vis un autre. Toutefois, la masculinité, en fonction de nos notes de cours, se traduit ainsi : désigne l’appréciation de comportements et attitudes généralement associés au sexe masculin tels que l’agressivité, l’ambition ou la franchise[9]. À la suite de l’analyse du texte, j’ai été capable d’identifier un extrait significatif à cette dimension : « Au Bénin, les gens gardent leurs attentes et leurs projets pour eux. Ici, il faut parler de ses buts au plus grand nombre possible, tu ne sais jamais qui pourra t’aider [10]». Donc, il est possible de voir que dans notre culture, l’ambition est beaucoup plus encouragée que dans la culture du Bénin.

Par la suite, la dimension de l’évitement de l’incertitude se traduit ainsi : à savoir l’inconfort face à l’ambigüité et le manque de prévisibilité[11]. Dans notre article, j’ai été en mesure d’identifier l’extrait de Renaud Margairaz, qui vient appuyer l’extrait de l’évitement de l’incertitude : « Aussi, les gens évitent de te confronter, ils ne veulent pas te dire “non” même si ça ne les intéresse pas. Ça fait en sorte que c’est très complexe de jauger ton offre et la valeur de ton entreprise. » Cet article permet de bien comprendre que les Québécois ne sont pas confortables avec les conflits et favorise l’évitement devant l’incertitude d’une réaction d’autrui. Pour Margairaz, cette situation n’est pas idéale, car il trouve difficile d’être en mesure d’avoir la vérité sur son produit.

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