Culture général et expression
Étude de cas : Culture général et expression. Recherche parmi 298 000+ dissertationsPar Laetitia Lonelys • 22 Novembre 2021 • Étude de cas • 1 134 Mots (5 Pages) • 262 Vues
Examenblanc Culturegénèral et expression
Synthèse ( 40 points )
Les innovations technologiques s'accélèrent sans répit et entraînent bien des bouleversements. Dans un
monde qui évolue à toute vitesse, la technologie ouvre chaque jour de nouvelles perspectives. Est ce que les
machines dites “ intelligentes” pourront prendre le contrôle de nos décisions ? Dans ce corpus de texte, nous
pouvons voir différentes oppositions quant à l'efficacité de ces robots sur les marchés financiers. Dans un
premier temps, nous verrons l’utilité des machines sur ce marché, puis nous verrons que cela ne peut être une
science exacte, ce qui engendra des effets néfastes pour l’Homme.
Dans notre monde devenu de plus en plus digital, nombreuses sont les activités qui se gèrent
automatiquement. Aujourd’hui l’innovation est au service de l’humain notamment sur le marché financier. Les
machines, de par des algorithmes effectuent des calculs extrêmement précis. Plus rapide que l’Homme, ces
machines permettent de faire gagner de l’argent très rapidement et en grosses quantités. La Bourse est le lieu qui
représente assez bien le rapport entre temps et argent. En effet, l’automatisation des données dans ce secteur
engendre une vitesse d’exécution des transactions boursières. Edouard PFLIMLIN et Laurent CHECOLA, dans
leur article paru dans Le Monde, nous expliquent l’utilisation d’algorithmes qui permettent d’optimiser les
transactions boursières de par la rapidité à prendre des décisions. Ne dit-on pas que le temps c’est de l’argent.
De même, Vittorio DE FILIPPIS explique également ce phénomène. En programmant les machines, elles ont pu
traiter un peu plus de 60% des volumes sur les marchés financiers en 2018, contre 20% en 2005. Dans son
roman, Zola décrivait déjà la bourse comme un fléau financier si elle était mal analysée.
Les machines permettent de substituer une charge de travail intellectuel pour l’Homme. En effet, en
étant plus rapide que lui , elles permettent un certain équilibre. Emile Zola, dans son roman décrit l'effroyable
vacarme à l'ouverture de la bourse. De même, sur la photographie de la place boursière, on peut y voir une foule
de gens attroupés les uns sur les autres qui fixent les écrans, d’un air peu rassuré, ce qui même en totalement
opposition avec l’atmosphère détendue expliquée dans les articles de Libération et Le Monde.
De ce fait, nous pouvons constater que les machines nous déchargent d’un certain nombre de problèmes
liés à la rapidité de certaines tâches, néanmoins, la tendance peut s’inverser et elles peuvent devenir un
problème.
Malheureusement, même si la machine aide mentalement et physiquement l’Homme, elle peut être
maléfique pour sa place au sein de la société. En effet, Vittorio DE FILIPPIS écrit qu'à force de performance,
des emplois qui ont disparus, c’est le même sentiment décrit l'article de Edouard PFLIMLIN et Laurent
CHECOLA, qui témoigne de l’époque ou avant il fallait plusieur personne pour effectuer une tâche à la
différence ou deux suffisent actuelle.
La rentabilité fera toujours préférer la machine à l’homme dans toutes les tâches difficiles et répétitives. En
effet, énormément d’argent est mis en jeu sur le marché de la bourse et si les opérations ne sont pas exécutées
correctement, le risque de perte est important, rappelle l'article Le Monde. De Vittorio DE FILIPPIS rappelle
que des machines peuvent faire perdre des centaines de points aussi vite qu’elles en ont fait gagner. Cette
science créée par l’Homme, au travers un algorithme, n’est rien d’autre qu’une
suite de calcul imposée par l’Homme mais exécutée à toute vitesse par une machine. L’Homme est donc capable
d'apprendre aux machines à faire des choses qui peuvent être néfastes pour l’Humanité. Vittorio DE FILIPPIS
raconte qu’il ne faudrait que peu de temps pour mettre en banqueroute financière des pays.
Bien employée, la
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