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Conclusion d'un stage

Étude de cas : Conclusion d'un stage. Recherche parmi 298 000+ dissertations

Par   •  6 Juillet 2014  •  Étude de cas  •  4 991 Mots (20 Pages)  •  1 209 Vues

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Sommaire

Remerciement ……………………………………………… 2

Introduction …………………………………………………. 3

Première partie : Présentation général de l’ONCF

1- Historique……………………………………………….5

2- Fiche signalétique……………………………………….6

3- Organisation interne …………………………………….7

4- Description des pôles……………………………………8

Deuxième partie : La direction des finances et contrôle de gestion

1- Présentation de la direction d’accueil…………………14

2- Le fonctionnement de la DFCG……………………….15

2-1 Les missions de la DFCG………………………….15

2-2 Objectifs de performance de la DFCG ……………16

2-3 Département mandatement et gestion des tiers……16

2-4 Département gestion financière…………………....19

2-5 Département comptabilité…………………………21

2-6 Département contrôle de gestion…………………..23

Conclusion ………………………………………………….26

REMERCIEMENTS

Avant tout développement sur cette expérience professionnelle, il apparaît opportun de commencer ce rapport de stage par des remerciements, à ceux qui m’ont beaucoup appris au cours de ce stage, et même à ceux qui ont eu la gentillesse de faire de ce stage un moment très profitable.

Je remercie Monsieur SAMIR said mon encadrant professionnel ainsi que Monsieur EL Mouden mon encadrant pédagogique qui ont bien assuré l’encadrement de ce travail avec une grande gentillesse et beaucoup de compétences. Qu’ils trouvent ici l’expression de mon profond respect et de toute mon gratitude.

Aussi, je remercie M. EL OUADAA Abdelali et Mlle. EL JAZOULI Sara qui m’ont accompagnés tout au long de cette expérience professionnelle avec beaucoup de patience et de pédagogie.

Mes sincères remerciements s’adressant aussi à tous les responsables de la Direction Finance et Contrôle de Gestion pour leur accueil et la confiance qu’ils m’ont accordés dès mon arrivée à l’établissement.

Introduction générale

L’Homme a toujours cherché des moyens de transport de plus en plus performants dans le souci de son déplacement permanent.

Parmi ceux-là, le transport ferroviaire présentait un certain nombre d’avantages.

Au fil des décennies, le transport par voie ferrée verra sa place renforcée notamment grâce à ses diverses facettes : son caractère de monopole rigoureusement programmé, qui entraîne sa régularité, sa sécurité, mais aussi sa rigidité. Ses fortes capacités et son rendement croissant lui permettent d’absorber à moindres frais les pointes ou la croissance des trafics.

Les chemins de fer présentent donc des spécificités, mais aussi une complexité dans la gestion de ce service. C’est pour ces raisons que dans plusieurs pays, c’est l’Etat qui a le monopole de ce moyen de transport, les sociétés privées peinent à assurer ce service, dorénavant public.

Au Maroc, l’Office National des Chemins de Fer détient le monopole en matière de transport de personnes et de marchandises par voies ferrées.

Par conséquent, et malgré son effectif important, il est caractérisé par une organisation efficace et une gestion minutieuse de ses ressources humaines, matérielles et financières, et veille au respect de toutes les dispositions de la réglementation nationale, notamment en matière de fiscalité.

Le présent rapport expliquera exhaustivement la manière dont cette importante entité fonctionne, et s’intéressera particulièrement au Département finance et contrôle de gestion. Ainsi, il s’agit dans une première partie de présenter globalement l’établissement, ensuite les différentes Missions de chaque service de la direction.

Première partie : Présentation général de l’ONCF

1- Historique :

Les premiers transports par voie ferrée ont vu le jour avec la Révolution Industrielle : ils reliaient Manchester à Liverpool depuis 1830, et Lyon à Saint-Etienne en 1834. Le Maroc n’a pas été écarté de cette avancée technologique.

Le tout premier chemin de fer marocain voit le jour dans le nord du pays en 1859. Il relie Tétouan à Oued El Marchi (actuelle Martil). Il faudra ensuite attendre le début du protectorat français pour voir l’installation d’un véritable réseau ferroviaire au Maroc. Le premier train a été inauguré le 1er décembre 1912 et reliait Casablanca à Rabat, pour ensuite s’étendre à d’autres villes comme Meknès (1914) ou encore Oued Zem (1917) pour le transport du phosphate.

Cependant, le réseau ferroviaire avait pour objectif initial, et majeur, le transport des militaires, son activité deviendra au fur et à mesure commerciale avec le transport des marchandises, du phosphate et des voyageurs.

Trois organismes se partageaient le réseau ferroviaire marocain : La C.F.M (Compagnie des Chemins de Fer du Maroc) qui reliait Marrakech à la ville d’Oujda, la CMO (Compagnie du Maroc Oriental) qui reliait Oujda à Bouarfa, et finalement le Tanger-Fès (TF) qui reliait ces deux villes.

En 1963, tout le réseau ferroviaire marocain appartenait désormais à l’Etat par le biais du dahir n° 1-63-225 du 14 rabiaa 1383 (5 août 1963) portant création de l’Office National des Chemins de Fer. D’après l’article 2 de ce Dahir « L'Office national des chemins de fer a pour objet : 1. L'exploitation des lignes des anciennes compagnies

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