Cas d'entreprise GETTES

STRATEGIE

- Cas GETTES -

1- Dressons un bilan des opportunités et des menaces au niveau Macro et micro de l’entreprise Gettes :

OPPORTUNITES :

- Macro :

o peu de concurrents dans le domaines des emballages en bois légers

o processus de fabrication découlant d’une longue expérience

o Mesures d’hygiène indispensables et draconiennes

o

- micro :

o Entretient de très bonnes relations avec ses fournisseurs en matières premières (amis)

MENACES :

- Macro :

o Menace des concurrents étrangers qui viennent s’implanter en France

o menace due à la dépendance du prix du bois qui pourrait augmenter dans les prochaines années, mais aussi à l’arrivée de planche en provenance des pays EU de l’Est.

o secteur de la conchyliculture soumis aux norme d’hygiène strictes, et aux évolutions des normes de fabrication

o Saisonnalité de l’activité = risques augmentés

o Arrivée fréquente de nouveau matériaux pour emballage pouvant déclasser l’emballage bois.

- micro :

o Entreprise « dépendance financièrement de ses clients » (redressement fiscal suite à des non-paiements).

2- Voyons maintenant les différents points forts / faible de la société Gettes :

POINTS FORTS :

- Entreprise familiale

- Bonnes relations avec ses partenaires (Fournisseurs, Clients). Entreprise à l’écoute des attentes de ses clients, service de qualité.

- Diversification des produits finis, capacité d’adaptation.

- Longévité et ancienneté de l’ Entreprise. Vétérante dans le domaine de la fabrication d’emballages en bois légers (synonyme d’expérience et de qualité)

POINTS FAIBLES :

- Portefeuille de produits non équilibré

- Livraison dans toute la France en camion (frais de transport lourds aussi bien sur le plan financier que humain).

3- MATRICE BCG :

VEDETTE

- Emballages chocolat

DILEMME

- Fromages

VACHE A LAIT

- Emballage huîtres / moules / palourdes POIDS MORT

- Fruits

La matrice BCG de l’entreprise Gettes n’est pas équilibrée puisque le marché des emballages huîtres / moules / palourdes représentent prêt de 87% du chiffre d’affaires. Cela est d’autant plus dangereux que ces produits sont qualifiés de « vache à lait » car produits historiques et arrivés au stade d’une maturité

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