Cas Hervé
Étude de cas : Cas Hervé. Recherche parmi 298 000+ dissertationsPar Hoela Vaillant • 13 Novembre 2018 • Étude de cas • 371 Mots (2 Pages) • 2 377 Vues
Cas HERVE :
Question 1 : caractérisez les entreprises H ou J en complétant le tableau :
Entreprise H | Entreprise J | |
Nombre de niveaux hiérarchiques | 3 niveaux hiérarchiques. | Structure non hiérarchique. |
Système d’information | Système d’information vertical. Centralisation de l’information : les décisions sont prises à des niveaux élevés et généralement situés au sommet de la hiérarchie. | Système d’information horizontale. Partage et décentralisation de l’information : division du travail de direction où le pouvoir de décision est réparti. |
Système d’incitation | Incitation horizontale :
| Incitation verticale :
|
Coordination | Coordination verticale :
| Coordination horizontale :
|
Question 2 : montrez que le groupe Hervé est une entreprise J :
L’entreprise J est basée sur l’autonomie des salariés/des ateliers. C’est le cas pour le Groupe Hervé.
Ce groupe a mis en place un management concertatif. Les salariés participent aux décisions prises par la direction par le biais de consensus et de codécisions. C’est donc un système démocratique sollicité par l’entreprise J également.
La communication se fait horizontalement : les salariés par groupe de 15 prennent une décision qui remonte ensuite vers le comité de direction. Comme dans la description de l’entreprise J « système d’information horizontale », le Groupe Hervé suit donc cette lignée.
C’est également un système efficace vu l’effectif et les résultats obtenus par le Groupe Hervé.
Question 3 : peut-on dire que le groupe Hervé confirme l’analyse d’Aoki ? Justifiez votre réponse :
La firme japonaise présente une division du travail flexible, une coordination basée sur des méthodes incitatives, un partage du pouvoir entre dirigeants et employés et donc une organisation du travail souple et sans fonction figée. Ce modèle favorise l'acquisition d'informations nouvelles, le partage de l'information et la décentralisation de la coordination de l'information. C’est un modèle coopératif. Le groupe Hervé confirme donc le modèle d’Aoki.
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