Cas D'entreprise Credix

1° L’environnement global de l’entreprise Credix :

*Politique : L’entreprise se développe dans des pays européens.

*Economique : Credix est en situation économique de succès et souhaite développer son activité vers deux pays européens.

*Social : L’entreprise Credix à mise en place des formations en langues et en matière de nouvelles technologies pour renouveler les compétences de ses salariés.

*Technologique : Les nouvelles technologies et la montée du e-commerce offre a Credix de nouvelles opportunités.

*Législatif : L’entreprise Credix est en pleine négociation dans le cadre de l’accord GPEC au sujet de la loi du 18 janvier 2005.

2° En s’appuyant sur l’analyse d’Ansoff, la stratégie adoptée dès 1994 par l’entreprise Credix est une stratégie de spécialisation puisque Credix est une entreprise qui se concentre sur un seul métier à savoir la vente d’un nouveau concept : le crédit par téléphone. Celle-ci se tourne vers l’Allemagne en 1994 puis désir développer son activité en Espagne et au Portugal.

3° Dans l’entreprise Credix il y a de nombreux défis auxquelles Mr Lafontaine doit faire face en trouvant de nouvelles compétences en matière de logistiques, linguistiques, culturels, technologiques. Ainsi Mr Lafontaine recherche les outils qui lui permettraient de répondre à ses besoins. Sachant que celui-ci possède déjà des compétences de ses équipes actuelles et qu’il forme ces salariés en langues et en matière de nouvelles technologies. Ainsi celui-ci cherche les outils qui l’aideraient à mieux organiser les actions de formation dans l’entreprise. Donc le vrai problème ici est l’évolution du métier de Credix, des compétences présentes dans l’entreprise et des nouvelles compétences et de la formation mise en place dans l’entreprise.

4° Au niveau des évolutions de son métier l’outil d’anticipation que je propose lié à la GPEC est une qualification de la branche professionnelle.

Au niveau de l’état des compétences et de la formation dans l’entreprise je propose comme outils l’entretien annuel d’évaluation qui est compléter par des bilans de compétence, un bilan social (taux de promotion, taux d’absentéisme,…) qui relèveraient les mouvements démographiques de l’entreprise, et la mise en place d’un référentiel des métiers et des compétences.

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