Balance de paiement canada

Question 1 La balance de paiement

La balance des paiements est un système comptable dans laquelle on inscrit  les transactions  du compte courant (balance des revenues gagnés et des dépenses encourues), du compte capital  et financier (balance entre l’entré des capitaux et la sortie de capitaux) entre les résidents canadiens et les non-résidents. En théorie, la somme du compte courant et du compte financier doit donner zéro. Une différence entre les comptes se traduit par une demande ou une offre de la devise du dollar Canadiens. On peut voir dans cette balance 2 type de transaction, c’est-à-dire crédit et débit. Une action de débit (un paiement ou importation) a pour effet d’augmenter l’offre de $CAN et une perde  de change étranger. Au contraire, une action de crédit (recette ou exportation) a pour effet d’augmenter la  Demande de $CAN et un gain de change étranger.^[1]  La balance de paiements sert surtout à être un indicateur pour le taux de change et à vérifier la réserve de devise étrangère.

Le compte courant

Le premier poste  du compte courant porte sur  la différence entre l’exportation et l’importation de bien et les exportations et importation de  services. Par exemple, une grande importation de biens des États-Unis fera augmenter la demande de $us. Au contraire, une exportation canadienne fera augmente la demande $CAN et une augmentation de l’offre de $US sur le marché de change.  Parfois, il faut effectuer des ajustements pour respecter le concept du système de comptabilité nationale ^[2]. Comme par exemple, l’or pour fins de traitement se trouve sous la rubrique des biens, à l’encontre de l’or monétaire qui est traité sous le compte financier de la balance des paiements. Les services sont divisés en 4 groupes distincts : les voyages, transports, services commerciaux et services gouvernementaux.

En second lieux, il y a les revenus de placements. C’est la différence entre les recettes sur les investissements directs, les investissements de portefeuille et les autres investissements et les paiements de ceux-ci. Les investissements directs comprennent les investissements directs à l’étranger des investisseurs canadiens. Dans ce cas, la recette est le revenu d’intérêts et le paiement est l’intérêt sur les emprunts dus.   Par la suite, les investissements de portefeuille comprennent les investisseurs de portefeuille étrangers sur les obligations  et dividendes d’actions canadiennes. Dans ce cas, la recette est l’intérêt gagné sur l`obligation et le paiement est l’intérêt accumulés. Finalement les autres investissements regroupent tous les dépôts non bancaires, prêts et créances. Dans ce cas, la recette est les revenus gagnés et le paiement est l’intérêt payé.  Par exemple, le paiement d’un dividende d’une entreprise américaine versé à un résident canadiens fera augmenter la  demande de $CAN.

Le dernier poste du compte courant et les transferts courants. Il est important de comprendre que ce transfert est unilatéral. Encore une fois, ce poste est calculé en fonction de la différence en les recettes (privées au officielles) et les paiements (privés ou officiels). En premier lieux, il y a le versement à des particuliers et des institutions (privés), c’est-à-dire les pensions versées par les gouvernements  ou les transferts courants des étrangers vers les résidents québécois. Pour le paiement, c’est l’inverse le gouvernement verse une pensions aux non-résidents. Deuxièmement, les retenues fiscales canadiennes représentent les impôts quel que le gouvernement retient des non-résidents. Au contraire, pour le paiement, c’est l’impôt que le gouvernement retient sur certaines rentrées de revenus de l’étranger^[3]. Par exemple, le canada offre une aide  économique et alimentaire a Haïti à la suite du tremblement de terre, ce qui est inscrit au transfert courant Officiels de paiement ce qui a pour but d’augmenter la demande de la devise étrangère ($ haïtien)  pour échanger les $CAN fournit en aide.

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