Analyse linéaire préambule OG

Dans la première phase du Préambule (l1 à 2) Olympe de gouges annonce et pose clairement l’intention de ses articles

Puis dans la deuxième phase de Considérant que l’ignorance l3 à bonheur de tous l16 Elle légitimise le besoin de changer la DDHC

Dans la troisième phase l16 à la fin OLympe de Gouges fait une conclusion et ferme le préambule

Le préambule de cette ouvrage précède les 17 artciles de la déclaration des Droits de la femme et la citoyenne.

Le texte s’ouvre sur une phrase très forte, marquer d’un rythme ternaire. "Les mères, les filles, les sœurs" l Olympe de Gouges expose ici explicitement les intentions des articles qui vont suivre. "Les mères, les filles, les sœurs" est une périphrase. En effet Olympe de Gouges englobe toutes les femmes dans sa cause et ne fait pas de distinction entre elles. Elle met en avant la solidarité féminine et montre que les femmes sont unis derrière sa cause. La nation est un terme qui émerge de la Révolution française.

L’emploie du présent de l’indicatif “demandent” souligne la nécessité de la formation en Assemblé Nationale des femmes. Il est important de préciser que cet ouvrage étant publié en 1791 suit de près le serment du jeu de Paume du 20 juin 1789 et donc de la formation en Assemblé Nationale des trois ordres le 27 juin 1789. Cependant tout les représentant de l’Assemblé nationales étaient des hommes, ici olympe de Gouges “demandent” l’intégration de la femme au sein de la vie politique.

Par la suite, nous retrouvons un rythme ternaire, c’est une gradation. :”l’ignorance, l’oublie, ou le mépris” Elle exprime clairement que le mépris des droits de la femmes sont à l’origine de malheurs publics et de la corruption des gouvernements. Cependant elle ne fait pas que critiquer puisqu’elle expose la solution à ces problèmes égaliser dans une constitution la différenciation des sexes : “déclaration solennelle, les droits naturelles inaliénables et sacrés de la femme.

A la lecture de ce texte, nous pouvons remarquer que Olympe de Gouge s’efface derrière le pronom de la troisième personne du singulier et plurielle “elle” l5. Cela ajoute de l'importance à l’idée d'unité féminine elle ne font qu’un. Par ailleurs “Considérant que” et “afin que” montre que ce préambule à bien fonction argumentative et pédagogique

Les adverbes “constamment” et “sans cesse” sont là pour rappeler que l’égalité des droits entre les femmes et les hommes n’est pas à négliger et souligne que c’est un principe qui nécessite un effort permanent.

Olympe de Gouges fait un parallélisme entre le pouvoir des Hommes et le pouvoir des Femmes. On peut parler d’un leitmotiv dans son discours puisque c’est une image qui est assez récurrente. Le groupe de mot “pouvant être à chaque instant comparer” rajoute un notion de temps et d’urgence et ajoute vraiment de l’importance à cette notion d'égalité “comparer”l10. retour de l'anaphase afin que qui permet une meilleure structuration du discours.

La majuscule à Constitution sacralise le texte, il ne faut pas oublier que ce texte est à but politique, elle cherche à créer une révolution dans

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