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Étude de cas Dotrina

Étude de cas : Étude de cas Dotrina. Recherche parmi 298 000+ dissertations

Par   •  10 Août 2020  •  Étude de cas  •  3 144 Mots (13 Pages)  •  338 Vues

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Étude de cas 2

Question 1 :

L’entreprise Doctrina est touchée par divers problèmes qui affectent le bon fonctionnement, entre autres, «la collaboration entre les laboratoires est insuffisante ce qui créer une compétition malsaine entre les équipes, le risque de détresse psychologique est très élevé en plus du climat de travail qui est stressant et que les attentes sont mal défini ce qui engendre un écart entre le travail, etc. »(étude de cas).C’est pourquoi je vous proposerai des solutions pour améliorer le climat de travail chez l’entreprise Doctrina.

Tout d’abord, un programme de prévention de risque serait à mettre en place dans l’entreprise Dotrina ce programme est «un plan d’action en prévention propre à chaque établissement. Il est un outil de gestion de la prévention prévu par la LSST. Il vise à éliminer et contrôler les dangers au travail. Ce programme de prévention doit être réaliste et raisonnable, il doit être adapté aux besoins et intégré à la gestion de l’entreprise. De plus, la participation des travailleurs est un facteur principal pour atteindre le succès de la démarche de prévention»1 (St-Onge & al ., 2013).

Pour s'y faire, le programme de prévention devra tout d'abord identifier les risques. Le premier est la prévention primaire qui « consiste à éviter l’apparition des situations à risque, en travaillant en amont à la réduction des facteurs de risque. Il s’agit de prévention au sens propre du terme puisque l’on intervient à la source avant même que la situation ne soit dégradée, pour prévenir cette dégradation. En matière de risques psychosociaux, la prévention primaire touche à l’organisation du travail, aux styles managériaux, aux modes de fonctionnement de l’entreprise et aux conditions de travail» (Le facteur humain, consulté novembre 2017) De ce fait, « l’intervention à la source du danger est le principe de base en matière de prévention. Plus le risque est détecté précocement, moins il y a de risques que survienne un accident du travail» (St-Onge & al ., 2013).

Ensuite, la prévention secondaire « consiste à réduire les atteintes sur la santé des individus en leur apprenant à mieux gérer les situations stressantes et leur propre stress. En somme, on part du principe qu’on ne peut empêcher le facteur de stress d’apparaître et on apprend aux salariés à être moins stressés» (Le facteur humain, consulté novembre 2017). De plus, cela vise à maîtriser et à réduire le niveau de danger d’une situation. Les mesures s’appliquant à cette catégorie touchent, par exemple, l’élaboration de plans d’action, c’est-à-dire de documents décrivant les objectifs à atteindre, les stratégies à déployer et les gestes précis à faire pour corriger certains risques. On y établit également des règlements internes relatifs à la santé et à la sécurité du travail, et l’on procède à la promotion d’activités d’information et de formation ainsi qu’à la clarification des rôles des différents intervenants» (St-Onge & al ., 2013).

Suite au rapport transmis par le Cabinet-Conseil Pensamiento, il y a trois recommandations que je trouve très pertinentes, dont la promotion de saines habitudes de vie, la modification des horaires et les procédures de travail ainsi que prévoir des interventions et du counseling pour traiter les symptômes liés au stress. Selon moi, ses trois recommandations seraient indispensables pour le programme en santé mentale.

Étant donné que dans l’entreprise Doctrina, certains chercheurs travaillent six jours sur sept, de douze à quinze heures par jour et que certains n’ont pas pris de vacance depuis plusieurs années. Le fait que ces chercheurs travaillent beaucoup cause un grand impact sur l’ambiance de travail. «Ce n'est pas seulement la quantité de travail qui est importante, mais aussi la question de savoir si les employés possèdent les ressources nécessaires (le temps, l'équipement, le soutien) pour bien faire leur travail» (St-Onge & al ., 2013). Dans ce cas-ci il est évident que les dirigeants ne portent pas attention à leurs employés c’est pour cela que l’entreprise devrait offrir la possibilité aux employés de modifier leurs horaires ainsi que la procédure de travail. Par exemple, «un horaire flexible permettrait à l’employé de varier l’agencement de son temps de travail de manière à pouvoir respecter ses engagements personnels ou gérer certaines urgences, ou encore de modifier ses heures de déplacement pour éviter les heures de pointe» (St-Onge & al ., 2013). Selon moi, si des changements étaient apportés cela permettrait d’offrir au salarié divers moyens de concilier leurs responsabilités professionnelles et personnelles. En plus, d’améliorer l’ambiance et éviter le stress et la fatiguée qui est malsains pour les employés (St-Onge & al ., 2013).

De plus certains chercheurs sont stressés et jamais contents des résultats obtenus. En plus d’avoir de la compétition entre les laboratoires. Cela cause des problèmes dans les équipes de travail car ils sont « poussées à trouver de nouvelles compositions de molécules rapidement et à réduire les délais entre les temps d’essais pour assurer le financement de leurs travaux». Le fait qu’ils soient toujours poussés et en compétition cause beaucoup de stresse aux chercheurs. Les employés sont trop poussés sur le rendement et la quantité de travail qu’ils font, mais les dirigeant ne s’assure pas que les employés possèdent les ressources nécessaires, dont le temps, le soutien, etc. «Compte tenu de l’ampleur de la problématique du stress au travail, la gestion de ce phénomène s’avère une priorité, diverses interventions devrais être fait dont psychosociales et sociotechniques ainsi que mettre en place des mesures de saines habitudes de vie et l’apprentissage de techniques de relaxation en sont des exemples et leurs offrir une aide médicale ou psychologique aux employés qui sont en détresse» (St-Onge & al ., 2013). De plus, il serait important de prévoir des interventions et du counseling pour traiter les symptômes liés au stress. Également, pour éviter d’autres incidents comme celle d’Odile, la jeune post-doctorante qui a fait une tentative de suicide en ingurgitant des médicaments sur lesquelles elle travaillait ainsi que pour les collègues d’Odile qui ont dû être mis au repos suite à cet évènement. Il serait indispensable d’offrir de l’aide pour les employés qui nécessite des besoins sans se faire juger. Par exemple, offrir un programme d’aide aux employés qui désigne « un service subventionné par un employeur et destiné à aider les employés

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